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Créé le : 26/11/2012 21:23
Modifié : 06/11/2018 07:32

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Catégorie I: Livre I: Et c'est tant mieux.(B.N).

06/10/2013 16:05

Catégorie I: Livre I: Et c'est tant mieux.(B.N).


A/I) Et c'est tant mieux.(B.N).

a)L'autre autrui. 

     On dit que le hasard fait bien les choses, comme je crois au hasard en tant que chance qui s'offre à vous, sans que personne n'ait quelque chose avoir pour qu’elle frappe à votre porte, j'ai décidé alors de saisir cette chance pour  relever  le défi d'écrire chaque jour une ligne ou  deux, en somme, c'est ce qu'on appelle tenir un journal, et pourquoi pas ? Puisque il se peut que c'est cette  chance  même qui vient de m'offrir  mon sujet de dissertation.  

      Il est à penser que pour relever ce défi, il ne faut pas chercher à écrire le sensationnel à tous les coups, parce que ce dernier (le sensationnel) est aussi tributaire de la chance, en somme, c’est une question de probabilité, c'est  pourquoi, pour espérer  écrire le sensationnel , il faut écrire et écrire, et encore écrire, toutefois, pour obtenir gain de cause contre cette  obligation et cette contrainte, le plus simple, parait-il, serait d'user des sujets d'écriture les plus simples et les moins exigeants en matière de réflexion et de minuties,  et ce sont les faits et les événements qui se présentent à nous et que nous vivons tous les jours qui devraient constituer  la matière première de nos écrits.

     Si ça se trouve; c’est qu’en ce début de journée j'ai trop parlé, et comme parler m'est devenu haïssable au plus haut point, quelques remords me démangent déjà.
    Il se pourrait que  je ferais mieux de continuer mon apprentissage, non pas du silence sage, mais du silence qui tue, ce silence machiavélique d'autrui, qui pousse l'autre autrui à ce silence malsain et impropre, sauf que comme l'autre autrui n'existe pas, il ne reste qu'autrui adoptant un silence machiavélique, c’est-à-dire vous, ainsi, et c’est bien consentant que vous devenez un créature du cheptel sans distinction aucune, et même si vous pensez être hors du cheptel, personne ne vous croira, votre attitude laisse apparaître un mélange d’indifférence et de complicité avec tout ce qui est à la mode, mélange médiocrement salvateur certes, mais certainement bien assassin, assassin de votre singularité,  que vous souhaitiez et que vous voudriez de haute éthique, humaine et noble, et faute de mieux, vous vous  dites, c’est tant mieux.

     Je pense que pour tenir un journal, il ne faut pas trop pousser sur le clavier, il faut  savoir s'arrêter  pour garder ce goût du non achever, qui pousse, espérant le, à vouloir parachever et donne des ressources et des volontés nécessaires pour une continuité aisée.

      Je devrais m'arrêter, je m'arrête donc.

 Le Jeudi 16 Avril 2015. Revu le 10/06/2017.


b)  Amertume.

      Amertume, mélancolie, tristesse,  chagrin, regret, affliction, ce sont là les quelques plus importants vocables clés  par lesquels le commun des mortels a pris l'habitude de décrire ou de rendre compte de son état d'esprit. Pour faire plus simple, disant  que ce sont là  les quelques vocables par lesquels nous signifions que  notre état de santé morale et au plus bas.

    Comme le bien être universel  dépend aussi bien  de notre état de santé physique et moral (psychologique: notre ressentir cérébrale ou ’’pulsationnel’’, qui sait), et depuis que cette bête ignoble d'humanoïde a été mis au secret des moyens et des outils à mettre en œuvre pour perturber et rendre morose cet état de santé, elle ne s’en prive pas le moindre du monde pour rendre bien plus abominable notre condition, puisque elle se leurre en pensant que cela ne lui coûterait rien ou presque , et que tout est à son avantage, cependant, par sa pratique et à son insu que la bête voit son état à elle aussi se dégénérer. Se rendant compte que son état n’est guère meilleur que celui de ces victimes, elle s’acharnera encore de plus belle pour que le  bien être universel se délabre et continu de se délabrer comme jamais auparavant.
 Sans que cela ne soit du pessimisme, il y a lieu de retenir que ce vulgaire bipède concourt le plus magistralement du monde et à volonté  à sa perte la plus insensé.

 C'est bien plus que deux lignes, et c'est tant mieux.

Le Vendredi17 Avril 2014. ( Revu le 10/06/2017).

 

c) Le calamar.

  De nos jours ; il est un fait avéré, c'est que, si vous dites que la nature a doté un tel ou tel être de ceci ou cela,  ou que la nature a fait qu'un tel ou tel phénomène se réalise de cette façon plutôt que d'une autre, vous ne risquez certainement pas d'être démenti, le dieu nature est devenu sans conteste, et de loin, un formidable outil qui convainc sans grande perte de salive, puisque notre conditionnement est tel, au point où on est devenu humecté  avec cette arrière-pensée qui nous fait croire que la nature fait les choses et de la meilleure façon qu'il soit.

  Mais, qu’est-ce que la nature au juste?

 A juste titre on peut faire prévaloir deux acceptions de « mère nature », qui parait-il, elle se trouve dépourvu de mère ; la première, qui n’est partagée que par ceux en possession d’une grande conscient morale et intellectuelle,   c'est celle qui veut que la nature soit constituée de notre environnement immédiat et lointain (l'espace) hormis nous-mêmes, bien sûr, c'est-à-dire ; air, eau, terre, flore et faune…etc, et qu'à l'évidence cette nature n'est pas créatrice, parce que les éléments de cette nature que nous appellerons pour la circonstance ''nature tangible'' sont le fruit d'une autre nature, qui, elle, semble être insaisissable pour ne pas dire fictive.

   Le lapsus dans ce qui vient d’être énoncé c’est l’hormis nous-même, parce que cet hormis entraînera, sans risque d’erreur, par avalanche, tous les autres éléments constituants la nature pris individuellement à « s’hormiser », c’est-à dire à s’exclure.  

   Prenons cette exemple de la '' nature tangible'' qui espérant le attirera l’attention et fera aboutir l'idée de ce petit essai.

 Il s'agit des calamars et de leur moyen de locomotion, qui est la propulsion. Dans un commentaire fait comme je les aime, le narrateur rapporte ce qui devrait être proche de ceci '' La nature a doté cet animal d'un système de propulsion via le rejet des eaux instantanément et à grande vitesse … etc''. Nous voilà donc avec un calmar ne faisant plus parti de la nature, du fait qu'il n'a pas participé à son essor, pour nous imposer hormis le calamar, parce qu’il est indéniablement le fruit de la nature, mais laquelle ? Je pense qu’il y’a lieu de se rendre compte du fait que, pour qu’un élément fait partie des éléments constituants « mère nature », il faut que son existence soit indépendante d’elle, c’est-à dire un élément qui s’est auto-créé (??).  Et c'est ainsi pour tous les constituants, en somme, cela nous conduit et nous oblige à admettre que la nature tangible, ne peut être créatrice, en même temps qu’il nous oblige à se dire que la nature créatrice avec laquelle on nous martèle et qu'on ose pas mettre son pouvoir et savoir à défaut, est certainement intangible et certainement  pas celle qu'on admire et qu'on pense connaitre, mais c'est bien celle à laquelle on croit, puisque il parait qu’elle appartient au monde de l’occulte, c'est pourquoi  elle se trouve relevée au point des dieux, elle parait être ambiguë et sujet de respect même avec tous les séquelles qu'elle nous occasionne et qu'on lui attribue.

 L'humanoïde ne manquera jamais d’épater, parce qu'au moment où tout le monde va de sa nomenclature de reproches et d'insanités à l’encontre du Bon Dieu auquel on ne croit vraiment pas, la nature telle qu’on la conçoit, et à laquelle on croit, destructrice, elle est vénérée, et bizarrement jamais refoulé ou dénié pour cause d’iniquité, comme l’est le Bon Dieu. Mais pourquoi donc ? N’est-ce pas là une question légitime ? En effet, qui fait qu’on excuse la nature, et qu’on accepte sans sourciller ses caprices et ses excès de zèle à notre encontre, alors qu’on est d’une tolérance zéro envers le Bon Dieu.

  Tout ceci, c'est juste pour dire, que je les croirai volontiers, et j’ose supposer qu’ils sont nombreux ceux qui devraient être dans mon cas; et qui s’aventureraient à les croire bien volontiers et sur parole, s’ils se risquaient au moins de  nous affirmer, comme ils osent le faire à l’encontre de Dieu, que c'est la nature qui a créé les injustices et les iniquités qui nous frappent. Parce que, de leur aveu, avec tout ce que devrait savoir « mère nature » créatrice, les  conséquences néfastes des injustices ne seraient qu'une illusion due à  notre seul esprit, et non un fait palpable qui nous martyrise, puisque « mère nature » ne crée que formidablement et sans injustice. C’est bien clair, mère nature semble indifférente à nos délires, puisque apparemment elle est étrangère à la création de notre centre d'illusion et de perception.  Eh, toi, ne pleurniche pas, et ne me conte pas tes séquelles, mère nature ne se trompe pas; et c'est tant mieux ainsi, n'est-ce pas?

  J’aime  conclure par ce fait indéniable, typiquement humain et bien bizarre, qui est celui que l’homme aime croire en rien ou ne croit en fait en rien.

 Le Samedi 18 Avril 2015.Revu le 19/06/2017.



Catégorie I: Livre I : Des Enigmes.(B.N).

06/10/2013 16:52

Catégorie I: Livre I : Des Enigmes.(B.N).



B/I) : Des Enigmes. (B.N).

a.    Les Dimanches des Délices.

        En ces lieux reculés, mais vraiment reculés au point de se croire  à l'un des bouts du monde. Tu sais, là tu sens vraiment que tu te trouves sur l'un des bords de la terre, là où vous risquez de chuter dans le vide sidérale, et que la terre est vraiment plate, mais qu'est-ce que tu racontes, elle l'est? Eh bien, Dieu merci, sache tout simplement qu’en ces lieux  le dimanche est fêté comme il se doit.

        En ces lieux reculés, l'habitude a fait que le festin de tous les Dimanches ; hormis ceux qui coïncident avec de vraies fêtes, ressemble à une petite fiesta  familiale, où sans défaut, le poisson est le maître incontesté dans tous les plats. Je vous défie de résister à cette odeur qui envahit tous les recoins des environs immédiats des habitations, de ce poisson cuit avec une marmelade que les gens de ce comté semble les seuls à en avoir le secret.

      En ces comtés, l'air est toujours pur, mais certainement pas les mœurs  des gens, puisque elles ont été envahi manu militari par la modernité avec son lot de déliquescence des valeurs nobles.

       En ces comtés, passer un jour de Dimanche d'un mois d'Avril où la verdure et le murmure des eaux  ensorcellent, risque de vous envoûter pour faire de vous un accro des lieux, mais si tu goûtes à ce plat de poisson  agencé de légumes qui enivrent ta palette d'un goût assurément  bien singulier  comme sortis de nulle part, puisque le comble, le tout est cuit sur un feu de bois fumant, avec une huile d'olive d'un arbre séculaire, tu regretteras d'avoir goûté aux autres mets, ensuite une fois ayant pris ce verre de thé préparé avec une menthe arrachée de sous vos yeux de sous l'ombre d'un grenadier dont les feuilles viennent juste d'apprendre à jouer avec le vent, tu risques de jurer avec la force de l'âme avoir fait un rêve, et tu prieras volontiers pour qu'il soit réalité. Je ne te  livrerai certainement pas les coordonnées Lambert de mon comté, et puisque la terre est bien plate, Dieu merci, peu sont ceux qui auront la chance de découvrir mon lieu enchanteur. Et c'est tant mieux. 

Le Dimanche 19/04/2014.Revu le 06/06/2017.

b.   La cime des controverses.

Les contrevents entrouverts, les volets fermés laissent passer une lumière avec une raie de soleil bien douce. Cet éclairage nature ; perturbe la monotonie des agencements des meubles de cette bien spacieuse chambre à usage multiple, puisque aucune nécessité ne s'est fait ressentir chez ses occupants afin de lui assigner un usage spécifique.
Dans un des recoins formés par l'intersection de ces meubles bien modestes qui tirent sur l'humilité, s'accoude penché en arrière ; comme se trouvant dans un repos éternel ; un bonhomme qui ne dit pas son âge, avec un air  contemplatif laissant entrevoir  une assez bonne ossature, mais des cheveux qui commencent déjà à se font rare pour  dévoiler  un cuivre chevelu  lisse et étincelant,  ce qui trahi son âge plus ou moins avancé, que la texture de ses paupières, complice de son silence ne permet pas de desceller encore .
Dans la mire des yeux  ce soldat du céleste azure, à travers ces volets ; se trouvent les cimes d’un conifère escaladant sans répit ni fatigue des escaliers imprévisibles vers ce bleu enchanteur, mais aussi et à cette hauteur et en ce lieu apparemment sans les autres de ce comté, ses oreilles sont joliment et merveilleusement chatouillées par un doux sifflement de vent angélique, un vent qui parait-il a fait un long chemin depuis l'Atlantic, se faufilant à travers les multitudes talwegs façonnés par d'innombrables oueds, et ce, dans l'unique et seul but parait-il d'enchanté ce bonhomme et à travers lui cet humain. Il n'est certainement pas impérative de dire que ce constat n’est pas un diktat religieux qui ne peut être démentit, sauf que, et même au conditionnel, certains ne s'en empêcheront pas de dire que la nature est bien généreuse, d'autres diront, oh combien le Bon Dieu peut être généreux et miséricordieux envers certaines créatures.

La curiosité me poussa à interrompre ce silence imposant qui pousse au respect des lieux et de ses  occupants ; et je m’adressais à notre imposant propriétaire des lieux en ces termes :

Très cher monsieur, vous avez là une superbe vue, que rare ont la chance d'avoir, n’est-ce pas ? Sa réponse ne s'est pas fait attendre en rétorquant:

Certainement pas mon jeunot, je suis bien modeste, et mon paysage l'est aussi, sauf que j'adore me reposer ici ; contemplant les cimes de ce conifère et ce bleu azure ; pour ce qu'il m'oblige à chercher à résoudre l'énigme de la création, et qui n'est que chose innée dans cet humain. Mais rassure-toi, moi je ne  perds pas mon temps à vouloir répondre à la grande question du pourquoi il y a quelque chose plutôt que rien? Même si c’est une question légitime, mais je l’évite, parce que je sais que je suis en manque d’outils et d’éléments qui peuvent me donner ne serait-ce qu’un mince espoir d’atteindre un jour l’apothéose de la découverte et du savoir.
Moi, j’essaie juste de répondre à une question très simple en apparence, et qui est justement soulevée par cet arbre et tous les arbres, réponse à la question, qui, à mon sens,  si elle ne résout pas la grande question de l’existence du quelque chose, elle permettra de s'en approcher magistralement.

La question mon enfant à laquelle j'essaie de répondre et bien simple, on peut la formuler de cette façon:

Mais par quelle alchimie l'eau parvient au sommet des arbres, sachant qu'ils y a  ceux qui peuvent atteindre plus de cent mètres? Ça défi tous les lois de la physique et de la chimie qui me sont connues et à qui je donne quelques crédibilités, parce que, sais-tu mon enfant ? Rien n'est plus sûr en ce bas  monde de charlatans, même la science est sujette à caution, dirais-je surtout la science.

Jeune homme, pourrais-je vous révéler la source de cette interrogation?

Je répondis sans hésitation, oh que oui très cher monsieur. J’ose dire je que j'étais aux anges  pour avoir frappé à la bonne porte ; en posant la bonne question, ce qui, ostentation oblige, peut me faire paraitre un peu intellect, quoique j'ai horreur de cette vilaine d'ostentation chez autrui, eh oui, combien l'homme renferme de contradictions?

Et bien mon enfant, disant que je connaissais un individu que j'ai catalogué comme faisant partie des mécréants, des athées invétérés, non injustement, mais en raison de ce qu'il faisait et qui était tout ce qu'il y a d'irréligieux.

Tu sais mon jeune homme, la proximité des gens et leur amitié peut vous révéler des choses que tu ne soupçonneras jamais, parce que moi qui pensait avoir attrapé ce bout de ficelle blanc qui conduit à la clairvoyance, voilà un bonhomme que je cataloguais pur athée, m'enseigna une leçon de foi en me mettant sur une voie que je n'aurais certainement pas découvert de mon propre chef ou qui m'aurait demandé beaucoup d'énergie.

Comme bien du temps s'est écoulé entre cette histoire et notre jour que celui-ci, je ne saurais te dire exactement tous les détails de la révélation de mon ami, cependant il me parait que j’étais interpellé en ces termes :

Regarde cette arbre m’avait-il dit, et nous étions, hasard ou fatalité, devant un conifère d'une taille conséquente, dis-moi toi le savant (Ricanant et me dévisageant) si Dieu n'existe pas,  comment l'eau parvient au sommet de ce géant, en me montrant le conifère qui était au voisinage? C'est ce qui me subjuguât pour ne pouvoir rien dire jusqu'à ce jour.

Ce qui  fait que depuis ce jour, je ne fais que chercher.  A vrai dire, l’alchimie des seuls arbres  tracasse, parce qu'elle pose plus de question qu'on est sensé avoir trouvé de réponses. En fait, on n'en n'a trouvé aucune, sauf peut-être celle dont certainement la raison humaine, mais non la mienne, rougisse et dénie, puisque non à la mode et c’est celle religieuse, vous vous en doutez, n’est-ce pas? Pas vraiment je conviens, puisque vous êtes de cette majorité de supers ignorants qui pense que la religion ne donne réponse à rien du tout, puisque vous êtes parait-il convaincu, on ne sait par quelle alchimie, du fait que  l’objet foi, est plus basé sur les histoires abracadabrantes que sur la science ou toute logique qui se respecte. Eh bien détrompez-vous, c’est tout le contraire, mais convaincre cette majorité de la chose, reste un travail de titan, presque impossible à réaliser ; ainsi va la vie, en cette branche de la science, on ne peut rien, même avec toutes les bonnes volontés du monde. L'autre grande question que posent les arbres, c'est leur fruit. En effet, comment se fait-il qu'une sève identique à tout égard,  qui, on s'introduisant dans le fruit génère une chair et une essence totalement différentes de ce que génère celle qui s'introduit dans les feuilles et les troncs ? Silence radio du côté de la science ou de simples ragots, seule la religion qui y répond de façon claire et sans détour, marque d’authenticité et de confiance, plus qu’autre chose, et j’y crois, je suis même certain que c’est la bonne réponse.

Ainsi, à mon humble avis,  ces réponses permettent vraiment de se rapprocher de la résolution de l’énigme du pourquoi ou du comment de l’existence du quelque chose, elles donnent au moins un avant-gout bien agréable.  A vous la torche.

Revu le 06/06/2017.

c.    La vache.

       Le fait indéniable ; quand on tient un journal; c'est qu'on épiant les événements qui sont susceptibles de te toucher ; dans l'espoir de trouver un sujet de dissertation pour gagner peu que soit ton défi d'écrire en accro, c’est que tu deviens bien plus attentif aux déroulements des événements qui  t'entoure, et par voie de conséquence ; tu prends plus conscience des composantes du vécu et t'aguerrira pour une altercation bien meilleure avec ton environnement et la société.
Notant au passage que pour fignoler son journal, il y a toujours lieu de l'instancier par quelques faits marquants de l'actualité, chose qui fera de ton journal une référence historique pour le futur, il peut arriver même ; que tu déniches un scoop historique à ton insu. Ainsi donc, tenir un journal tient éveillé et permet bien des apprentissages, c'est pourquoi et à mon humble avis, on se doit de tenir un journal, même non quotidien et aussi moche qu’il peut l’être à son début.
J'entends déjà ceux qui disent sous le manteau, pendant qu'on y est, pourquoi ne pas faire une matière à part entière au niveau des collèges? Matière dans laquelle on apprendra à tenir un journal. Comme j'entends aussi ces collégiens crier leur ras- le-bol de ce nouveau venu, comme s'ils ne sont pas déjà encombrés ainsi? Sauf que mon intention est bien noble, comme on prétend qu’elle l’est toujours chez les politiques même les plus véreux, puisque moi, qui peut prétendre être un spécimen apolitique ( ne rien croire), je veux tout simplement  permettre à ces collégiens de bénéficier d'une publication en pompe à la fin de l’année des meilleurs journaux de collégiens, et ce dans les grands quotidiens ou revues, avec  des sous à la clé, ce qui dopera et aiguisera bien des esprits, j'espère ne pas exagérer, si je dirais que je vois déjà des salives coulées, et c'est tant mieux.

     Ceci étant, pour ce jour, je pense que j'étais un peu gâté, en effet, à force de bras et de pioche j'ai redonné un nouveau visage à un petit semblant de jardin juste de l'autre côté de la rue de là où j'habite, ce qui m'a permis de me débarrasser de pas mal de sueur. Comme le temps était bien maussade, il a fait instaurer un climat agréable aidant au bon aboutissement de cette besogne d'apprenti jardinier.

       Au moment où je piochais le plus ardemment du monde, une bien belle vache locale  m'interpela en venant brouter tout près. Quelque chose me disait que cette vache était bien fière de l'être, et que, par pudeur et de peur des jaloux elle s'abstenait de le dévoilait, quant à moi qui tient un journal et qui a un besoin brûlant d'un sujet de dissertation, elle ne peut pas me la faire et me dissimuler sa fierté de vache, elle l'aurait cependant pu ; si je n'étais pas aussi au courant du fait  que le seul être qui n'est pas fière d'être soit ; c'est ce bipède, et s'il y a ceux qui le sont, c'est qu'ils sont ignorants bien plus qu'une vache.
Réveille-toi ignorant, tu regretteras certainement, si tu ne le regrettes pas déjà en cachète  l'usurpation de ta tache et de ton devoir. Quand à cette fière vache, bien contente et bien rassasiée, elle a semble-t-il, entrepris de  chercher pour son dessert parmi les herbes,  celles nobles et dont elle raffole, tel que la luzerne sauvage, ou mieux encore, chiendent. Quant à notre ignorant bipède, il ramassera toujours ses forfaits pour les emporter avec lui dans son lit, et même jusqu'à sa tombe sans la moindre petite honte, parce que le total des morts recensés rien que pour cette journée et dont il est sans conteste la cause première serait au rabais 1000.
 Dans cette marre d'inepties humaines, Dieu merci, on peut rapporter pour l'histoire le progrès sensé qui a été réaliser au niveau des cellules industrielles intelligentes, quoique bien de gros mots tel que intelligence industrielle, ne sont utilisés que pour émerveiller.
 
Mardi 21/04/2015. Revu le 14/06/2017.

d.   'énigme.

Sous certains cieux ; se réveiller aux alentours de 9 heures 10 heures est considéré comme s'étant réveillé presque tôt, surtout quand l'heure est greffée par le rajout de cette heure d'été ; qui fait bien des malheureux, en raison des habitudes et des mœurs des autochtones qui ont tendance à prolonger les nuits.

 On raconte qu'un visiteur qui peut être toi; débarqua en pleine nuit dans une  ville sous ces cieux, fatigué, il s'endormait, le matin venant, en se réveillant vers ces laps de temps  des 9 heures, 10 heures du matin, il se rendait au café raccordé à l'hôtel, prend place sur la terrasse, remarqua que le café, les rues et ruelles sont presque désertes, on dirait que leurs occupants semblent les avoir fui, il s'étonna, jurant même, pour ce qu'il ne comprenait pas, que  quelque chose lui est  arrivé, son esprit divagua pour aller jusqu'à se demander, s’il se trouvait vraiment sur terre, ou si  Hitchcock n’a pas débarqué avant lui et a fait fuir les habitants par l'un de ces canulars? Ce qui ne va pas sans lui avoir donné quelques frissons. Pour se rassurer et dissiper cette peur, il cria un peu fort appelant le garçon, comme pour le hâter de le servir et ainsi se rassurer de la présence réelle et toute proche d’un être humain en chair et en os. En effet, il fut servi expressément, ce qui lui donna quelques assurances.

      Cependant, de peur de commettre une gaucherie dévoilant son état, et pour reprendre confiances en son état d’esprit, il prend une gorgé de ce café noir et  se dépêchât d’allumer une cigarette, souffla bien discrètement une première bouffé de fumée et il prit la malice de surveiller la dispersion de  cette dernière dans l’espace. Comme il aimait se distraire ricanant de la science en générale, et particulièrement de ce qu’il ne comprenait que difficilement de cette science, comme  la physique des liquides, ou si vous voulez la dynamique des fluides, son esprit fut accroché donc, fatalité des lieux et du moment, ou coïncidence mêlé à ignorance ? Par cette fumée et les relations empiriques de cette physique. Il essaya sérieusement  de trouver ou de formuler  une de ces équations qui aura le mérite  de lui  permettre de décrire la trajectoire d’une nuée de cette fumée, depuis le moment où elle aura quitté ses lèvres ; jusqu’au moment de sa dissipation dans l’espace, mais en vain, puisque il trouvait toutes ces équations absurdes ne menant à rien, et que les scientifiques sont généralement trop prétentieux, et c’est ainsi que notre ignorant s’est pris le temps d’une tasse de café pour Schrödinger, et ce fut, il faut le reconnaître, une chose bien bénéfique, parce que ça lui a permis  d’oublier momentanément les états des lieux auxquels il  ne comprenait rien.

     Dieu merci, parce que, après une heure, une heure est demi, les choses semblaient redevenir normales. Du monde commencé à occuper l’espace qui lui est dû, ce qui donna bien des audaces à notre visiteur pour retrouver quelques sérénité et joie de vivre , sans pour autant que son esprit ne soit entièrement débarrassé de ce sentiment de l'existence de quelque chose d'anormale et d'inhabituelle dans cette ville, en somme, cette ville est singulière de fait, c’est pourquoi, multitude viennent lui rendre hommage pour sa singularité. Mais cette bizarrerie qui lui a surgit en pleine figure sans crier garde, fait-elle aussi parti de sa singularité et de son patrimoine touristique ? Qui-sait ? En tous les cas, certainement pas notre visiteur.

  Le soir venu, notre pauvre bonhomme rejoint la terrasse du même café après une longue journée d'errance, stupéfaction; il remarqua qu'a l'inverse de ce qu'il a l'habitude de vivre, au lieu que la ville ne se  désengorge, c'est le contraire qui est survenu,  les rues, ruelles, places et cafés de la ville commençaient à s'emplir jusqu'à l'étouffement avec une multitude de gens et d'activités, et cela jusqu'à une heure bien tardive.

    C'était là un ballait impressionnant d'humain hors du commun, ce qui a fait vêtir à notre  jeune homme, au plus profond de son être, l’habile d’un extraterrestre. Cependant, ce qui va susciter plus sa curiosité, c'est la ''paisibilité'' et l’insouciance de ces gens qui prenaient tout leur temps, buvant, bavardant, mangeant et marchandant, sans se préoccuper le moins du monde de l'avancé de la nuit.

     Une fois dans sa chambre, il entreprit de résoudre cette énigme, parce qu'il lui parait impossible de continuer ces pérégrinations avec insouciance, sans qu'il ait trouvé de réponse à ce phénomène, espérant le, normal de société.

   Il entreprend la résolution de son énigme en se disant :

   - Un, le primordiale, c'est qu'ici c'est bien la planète terre.

   - Deux, là ce sont bien des humains, c'est réconfortant,

mais ça ne répond pas à l'essentiel.

    - Trois, ceci est bien une réalité du vécu, c'est certain, je ne rêve pas; mais pourquoi donc toute cette différence et se décalage entre ce que je connais, ce que j'ai vécu sous bien des cieux et ce que je viens de découvrir et de vivre sous ce ciel, ce jour-ci? On dirait une ville et des gens sortis tout droit d'une autre époque.

     Notre extraterrestre, dans l'impossibilité de trouver une réponse immédiate à son casse-tête, pour le moins qu’on puisse dire, Chinois, il se contente de vivre avec le seul espoir que son hypothèse d'être sur terre et avec des bipèdes soit authentique et ne tient pas qu’aux fantasmes et le souhait d’être accroché à cette planète, qui a semble-t-il cessé de tourner pour lui pour de vrai.

    Il aurait fallu bien du temps pour que notre extraterrestre ne découvre la réponse qui le tracassait tant, et ceci, après des études et son immiscement au sein de cette population, dont il connait aujourd'hui quelques secrets.

    Avec le recul, le souvenir lui donne certainement envie de rire; mais il parait qu'il lui procure surtout quelques nostalgies et joies d'avoir trouvé son petit bout de Mars avec de vrais habitants, et qui sont bien plus proche de chez nous que de ceux qu’on prétend peupler  la vraie planète Mars, et qui, témoignage pour la postérité, planète qui ne sera jamais, mais jamais atteinte, je reprends, jamais l’homme ne mettra les pieds sur Mars.

     Cette histoire est bien réelle, que vous le croyez ou non, les lieux et les gens le sont aussi,  sans pour autant nier que l'histoire a été enrobée dans un léger voile de brouillard espérant lui donner une saveur anecdotique. Mais bon sang de bon sang que l'homme peut être bavard, c'est pourquoi le soin de découvrir les lieux, les hommes et l'énigme de ce récit vous est laissé. Bonne chance.

    Revenant à notre journée, je disais donc que je me suis réveillé vers les coups de 09 heures 10 heures, sans que cela puisse être considéré comme étant une somme matinale, puisque c'est dans les mœurs, oh combien j'aime les mœurs qui autorisent bon grès mal grès des sommes matinales, que meurent de jalousie les lèves tôt. Ai-je pris mon petit déjeuner, pas si sûr, je ne me souviens plus, direction une petite administration de sinécure, mais ce sont les mœurs mon ami, il faut faire avec. Retrait immédiat dans les minutes qui ont suivi mon arrivé d'un document administratif, même sinécure, ça fonctionne mon ami ,croyez-le, mœurs obligent, il faut faire avec. De retour, je me suis fait offert un service bancaire impeccable dans les minutes qui ont suivi mon arrivé, mœurs obligent mon ami, il faut faire avec. Je me suis ensuite approvisionné dans les minutes qui ont suivi mon arrivé, en légumes et en petit lait frais du terroir, que même les terroirs d'ailleurs ne peuvent vous en offrir pareils, de surcroît, avec un prix  défiant toute concurrence, mœurs obligent mon ami, il faut faire avec. Aura à faire à moi, celui qui dira que le professeur Hitchcock ne s'est pas ressourcé en ces lieux.

 Le Mercredi 22 Avril 2015.Revu le 17/06/2017.

 






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