e)Auto-maintien ou continuité subconsciente des idéologies.
L’auto-maintien ou la continuité subconsciente des idéologies est primordial pour la pérennité des systèmes de production comme la gauche se plaise de les appeler, puisque il joue (l’auto-maintien) le rôle de déclencheur d’alarmes ; de prévenant pour ne pas dormir sur ses lauriers. Ainsi il permet d’entreprendre les rénovations et les ajustements nécessaires qui aillent avec toutes nouvelles situations. Une fois encore, expérience à l’appui, ce sont aussi seules les religions qui permettent un tel exploit. Elles vous tiennent en un éveille permanent; scrutant le monde alentour. C’est cela même qui le plus souvent manque aux nouvelles idéologies et qui a fait périr plutôt que prévu bon nombre de système, particulièrement socialiste.
Cependant, ce psychisme humain épieur est hautement tributaire de la composante foi, si on perd foi, tout peut basculer et on ne peut y remédier si ce n’est par le fait de retrouver ou de rénover la foi en son idéologie en sa religion; c’est pourquoi l’une ou l’autre doit être porteuse de valeurs et concepts malléables à connotations pragmatiques d’équité et de justice sociale.
De nos jours aucun adepte n’est en mesure d’avoir sous la main même un semblant d’ABC cohérent aussi restreint soit-il de l’idéologie auquel il prétend adhérer. Les idéologies qui prévalent ont la particularité de reposer pour une grande part sur ce dieu répressif de l’humanité, dont il est fortement difficile de se défaire et qui sont les passions. L’humanité est entrée de plein pied dans une ère de son ascension vers cet inconnu qui est le futur, caractérisée par un chaos idéologique et une abracadabrante frénésie à outrepasser tout le convenu de jadis. Une seule et unique religion a pu faire face à tout ce remue-ménage rocambolesque malgré les coups endurés, ce qui doit donner à réfléchir. C’est aussi l’unique religion qui a l’ultime privilège de nous présenter sans ni amalgame ni détour aucun un vrai manuel; des meilleurs qu’il soit en matière de religion, c’est aussi grâce à cette religion qu’on peut prétendre annoncer cet axiome en matière de science sociologique: ’’ Pour prétendre au nom de ’’religion pure’’ la dite religion doit être autonome, c’est-à-dire s’auto-suffire de ses propres préceptes et n’être entachée d’aucune production humaine ’’. C’est le cas de cette unique et singulière religion qu’on nomme ISLAM, qui est sincèrement divine. Il va de soit que les autres soit disant religions ne peuvent prétendre à ce statut, qui vu de près n’ont absolument rien de religieux, ce ne sont en faite que des productions humaines des plus maléfiques avec lesquelles ont a brouillé et abrutit la raison humaine, au plus elles ne peuvent être considérées, équité oblige, que comme la face la plus morbide des idéologies.
III- Classes sociales et idéologies.
a) Classes in-abolissables sous tous les cieux.
De toutes les productions humaines; seule l’idiologie socialiste ou marxiste qui a eu l’audace de vouloir et de prétendre pouvoir abolir les classes sociales, faisant ainsi fi à la fois des lois ’’naturelles’’ auxquelles croit le païen et des ordres divins auxquels croit l’homme de foi; et qui pour les premières, les classes sociales résultent de lois naturelles immuables et pour les seconds elles sont une fatalité divine, donc in-abolissables sous tous les cieux. Que les classes sociales émanent de lois naturelles immuables ou d’un ordre divin, elles sont une réalité du vécu quotidien que personne ne peut nier; comme il serait insensé de nier leur nécessité absolue pour le maintien sinon la génération de tout ordre humain viable.
Les classes sociales sont les membres d’un même corps qui est l’humanité, humanité qui ne peut survivre sans l’un des ses membres, c’est pourquoi des règles de déontologies et d’éthiques doivent être établies dans un souci de respect mutuel entre les différentes classes. Dans une idéologie qui se respecte la classe des déshérités n’a pas droit d’être, puisque ce n’est pas une loi naturelle mais une aberration. Dans une idéologie qui se respecte le droit d’améliorer son quotidien devrait être garanti de fait, puisque c’est aussi une loi naturelle.
L’Islam est la seule religion qui a reconnu et a justifié explicitement l’existence des classes sociales comme étant une volonté divine par suprématie, comme il a instauré vis-à-vis des riches détenteurs ou non de moyens de production ou/et de pouvoir des règles, tout on leur enjoignant des obligations qui vues de près, donnent la chair de poule. En Islam toute la vie n’est qu’épreuve. Personne ne peut prétendre être le créateur que se soit de son être, affirmation incontestable bon gré malgré, ni de ce qu’il est, même si certains peuvent en douter.
Ce que nous sommes donc, en d’autres termes l’ensemble de nos acquis terrestres, sont un don divin, par lesquels le bon Dieu nous éprouve en exigeant de nous de faire l’usage enjoint. Le riche doit endurer pour faire de bonnes œuvres et de larges donations; donations pour lesquelles il ne devrait même pas s’attendre à recevoir un merci de reconnaissance, puisque c’est en faite un crédit Divin qu’il est dans l’obligation de s’acquitter de lui.
Le pauvre; c'est-à-dire celui qui arrive bon gré malgré à joindre les deux bouts, (Ce n’est vraiment pas le déshérité) ; doit accepter de bon cœur cette donation; sachant que ce qu’il reçoit est en faite de la part du Divin, que son donateur sera amplement récompensé par ce Divin même et qu’il n’a absolument aucune reconnaissance de nature que ce soit envers son donateur.
Si la vie a le visage qu’on lui connait; c’est parce qu’il a été ainsi décidée par celui qui peut tout. Le réconciliant et l’apaisant; c’est que la fatalité divine du duo riche/pauvre n’est pas immuable, mais qu’on peut se débarrasser d’elle moyennant juste une bonne dose de foi, comme si le bon Dieu ne fait de nous des pauvres que pour nous permettre de renforcer notre foi , et que s’il ne fait de nous des riches, ce n’est que pour affaiblir notre foi, et que ce n’est absolument pas un privilège, sauf cas rarissimes, soyons donc sage.
La raison saine et la sagesse attribuent la vraie richesse de l’humanité aux pauvres, chéris du Divin. Si le pauvre n’aura permis que de prendre conscience de notre richesse, ça lui aura suffit d’être le créateur de cette dernière. Ce n’est donc pas seulement justice et miséricorde Divine, s’il ait demandé aux plus nantis de faire de large donation, mais c’est aussi une obligation sociale preuve à la foi de reconnaissance envers cette autre ’’qui n’est autre que nous’’ et d’adhésion aux concepts religieux que nous sommes supposés défendre.
Bien évidement les commandements religieux ont besoin de cette foi libératrice, foi qui permet de vivre selon les vraies lois régissant l’univers, lois divines par suprématies, et avec laquelle on a de compte à rendre qu’a Dieu. Ainsi on est tenu que par ce que Dieu a enjoint, à nous et au pharaon sans distinction. On a juste les obligations pour lesquelles on a été dotées et rien de plus, c’est pourquoi on devient avec joie des êtres influents, productifs et actifs dans la société œuvrant du mieux que nous pouvons à sa prospérité au même titre que le pacha. On est libre de tout; sauf envers Dieu, qui de droit nous lui sommes obligés ; puisque nous avons la certitude d’en dépendre entièrement, et comment ne pas être obligé envers quelqu’un qui vous octroie le meilleur de tout sans se lasser, et sans jamais vous dire non. Ceci étant; parce que Dieu est la vérité suprême et ce n’est vraiment pas une démagogie vide.
Au cas où vous ne pouvez atteindre la certitude de l’existence du tout puissant, le pouvant tout, sincèrement ceci ne vous concerne absolument pas, passez à autre chose de bon cœur, cet écrit contient certainement espérons le bien, ce qui peut satisfaire peu que soit votre curiosité ou au moins ce qui peut vous amuser quelques instants.
Que le croyant ne s’exaspère pas; de se soumettre aux lois divines; qui le prémuniront contre les lois humaines rébarbatifs; auxquelles doit se soumette le païen sans que celles-ci ne peuvent le prémunir contre les lois divines.
b) Rien n’est plus sûr en science humaine que l’histoire.
Jusqu'à présent pour l’intellectuel païen comme pour l’homme de foi; rien n’est plus sûr en science humaine que l’histoire, référons nous donc à celle-ci. Cette dernière nous apprend que toutes les révolutions avaient pour étincelle les idéologies et pour carburant les classes sociales. La question serait donc de savoir qui détient la primauté? La balance parait pencher du coté des idéologies du faite que :
1° Les préceptes d’une idéologie vont généralement bien au-delà des attentes des classes; par souci et besoin, de se justifier, de conquérir et de faire fi des préceptes des anciennes idéologies, chose absolument et certainement pas aisée et difficilement insufflable par l’état des classes sociales.
2° Ces classes de déshérités dans les sociétés actuelles et d’antan, dont l’existence n’est compréhensible que par la présence d’idéologies ou de soit disant religions justifiant et maintenant cet état des plus pitoyable de l’humain. On est en droit même de se poser la question légitime qui est, mais bon Dieu, pourquoi ces sociétés n’ont donné naissance à aucunes idéologies salvatrices, ou encore pourquoi nulles idéologies ou religions d’ailleurs n’a perturbé la pitoyabilité de ces sociétés. L’homme n’est qu’homme, mais en absence d’endoctrinement, facultés dévolues aux idéologies.
c) L’avènement des idéologies et des religions.
Si on peut avoir quelques doutes quant à l’avènement des idéologies qui paraîtrait-être intimement lié aux importants déséquilibres de bien être qui surviennent entre les individus d’une même société, ce qui est certain c’est que les idéologies restent cantonnées aux combats intestinaux de l’humanité et aux moyens de satisfaire ses besoins bestiaux coûte que coûte. Ce n’est absolument pas le cas des religions, les sociétés au sein desquelles elles sont apparues le combat qu’on offrait pour la composante bien être était trop secondaire; au point où il a été légué au soin de tout un chacun de le régler en son âme est conscience, ce qui continue de se pratiquer de nos jours. La zakate ou comme ils se plaisent de les appeler certains, l’impôt islamique, est une affaire strictement personnelle.
Au contraire, les religions ont toujours essayé de mettre les moyens qui doivent permettre à cet être singulier qui est l’homme d’atteinte sa singularité et de l’empêcher de tomber dans la bestialité à laquelle l’invitent ses passions. Si besoin en est ; l’histoire est bien là pour l’attester, attester que ce qu’a prohibé les pures religions dont il ne subsiste qu’une seule, est d’une morbidité extrême ni plus ni moins. Il ne fait pas le moindre petit doute que l’avenir le prouvera encore et l’attestera, et se pourrait-il que l’humanité finira par se convaincre enfin.
Conclusion.
Il ressort que ce sont les luttes des idéologies qui prévalent et qui dominent pour les raisons su citées, mais aussi parce que ce n’est qu’une fois une idéologie développée et ayant inspiré une certaine masse sous l’impulsion d’idéologues, de démagogues et de propagandistes… que vous pouvez espérer à votre révolution, à votre soulèvement et surtout à votre ascension et non pas avant, même si vous êtes en présence d’une nation entière s’habillant de guenilles gouvernée par un seul être tout or.
A vos marques, prêt, partez, forgez votre idéologie. Le plus simple serait de prendre une; clé en mains, aclimatiser la si besoin; ou; inutile parce ni votre âge ni votre savoir ne vous le permettent. Vous avez acquis de l’histoire la garantie de réussir l’espace d’une génération avec l’importé, ce qui vous ferait aimer l’importé et vous ferait interdire la créativité. Vous jugez que ceci étant amplement suffisant pour que vous partez sous les applaudissements de bien des arrivistes; arriviste que vous êtes.