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Modifié : 06/11/2018 07:32

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La règle d'abrogation -Première partie-.(ASC).

18/04/2014 22:24

La règle d'abrogation -Première partie-.(ASC).


      G)   La règle d'abrogation -Première partie-.(ASC)

a)  Dés inventions toutes rafistolées. ( Celles des théologiens évidement).

« Cet article a été copie sur Dreuz avec les conditions de publications qui se doivent » 

Début Article.     

« «  La règle de l’abrogation  est essentielle pour la compréhension du Coran.
(Et ne pas se faire enfumer par des musulmans mal intentionnés)

       Ordre des sourates

      La règle de l’abrogation constitue la clé indispensable pour la compréhension du coran, et donc de l’islam.

     Si on ne connaît cette règle fondamentale, on peut être déconcerté ou découragé devant les nombreuses contradictions présentes dans le livre saint des musulmans; on risque également de se faire rouler dans la farine lors de discussions avec des musulmans rusés ou malintentionnés.

     Anne-Marie Delcambre consacre un bref chapitre de son dernier livre [1] à ce thème. Elle rappelle que « dans le cas de deux versets qui se contredisent …le verset révélé en dernier abroge le verset révélé en premier ».

    Etant donné que dans le coran, les sourates ne sont pas classées dans l’ordre chronologique, mais par ordre de grandeur décroissante (de la plus longue sourate à la plus courte, à l’exception de la première), une question se pose inévitablement: en cas de contradiction entre deux versets, comment savoir quel est le verset révélé en dernier ?

    Réponse : « Il faut (…) se référer aux études des savants de l’islam pour connaître l’ordre chronologique ». Ceux-ci distinguent les sourates mecquoises (révélées à La Mecque entre 610 et 622) et les sourates médinoises (révélées à Médine entre 622 et 632).

     Le principe du verset abrogeant (nâsikh) et du verset abrogé (mansûkh) est d’ailleurs contenu dans le Coran lui-même :

        Sourate 16 (mecquoise, la 70ème révélée), verset 101 :
« Quand Nous remplaçons un verset par un autre – et Allah sait mieux ce qu’Il fait descendre – ils disent : « Tu n’es qu’un menteur. » Mais la plupart d’entre eux ne savent pas. »

         Sourate 2 (médinoise, 87ème révélée), verset 106 :
« Si nous abrogeons un verset ou si nous le faisons passer à l’oubli, nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne sait-tu pas qu’Allah est omnipotent ? »

         Quel est l’effet de tout ceci ? La règle de l’abrogation a des conséquences pratiques, concrètes. Illustrons-le par deux exemples.

  Premier exemple.

        Pourquoi la consommation d’alcool est-elle interdite aux musulmans ? La sourate 16, verset 67 dit pourtant : « Des fruits des palmiers et des vignes, vous retirez une boisson enivrante et un aliment excellent. Il y a vraiment là un signe pour les gens qui raisonnent ».

          Il faut savoir que la sourate 16 est une sourate mecquoise (c’est la 70ème révélée) et qu’elle est abrogée par la sourate 2 (médinoise, 87ème révélée), verset 219.

        Celle-ci est abrogée à son tour par la sourate 4 (médinoise, 92ème révélée), verset 43.

         Cette dernière est finalement abrogée par la sourate 5 (médinoise, 112ème révélée), verset 90 : « O les croyants ! Le vin, les jeux de hasard, les statues, les flèches de divination sont une abomination inventée par Satan. Ecartez-vous-en afin que vous réussissiez. »

         On a donc ici affaire à une succession de versets qui s’abrogent les uns les autres, et c’est le dernier d’entre eux (chronologiquement) qui a le dernier mot. « D’après le principe de l’abrogation qui régit l’application du Coran, c’est la sourate 5 qui doit guider la conduite du musulman. Il faut donc ne pas consommer d’alcool » [2].

Deuxième exemple.

         Pourquoi certains, dont je fais partie, déploient-ils autant d’efforts pour dire, à l’encontre de tant d’autres, que l’islam n’est PAS la religion pacifique et tolérante qu’on a coutume de nous décrire? Le coran contient bien de nombreux versets « pacifiques », « gentils », « tolérants ». En effet.

        Mais il en comprend également d’autres, qui sont « intolérants », d’une extrême violence envers les juifs, les chrétiens, les non-croyants.

        Dès lors, à quels versets se fier? Il faut une nouvelle fois savoir à quelle période se rapportent les versets en question. Les premiers (tolérants) appartiennent à la période mecquoise, les seconds (violents) à la période médinoise.

      Par conséquent, toujours en vertu du principe de l’abrogation (contenu dans le coran, je le rappelle), les versets qui prêchent l’indulgence, la tolérance, sont abrogés par ceux qui prônent la violence et l’intolérance. Ceux qui invoquent les versets de la période mecquoise pour soutenir que « l’islam est une religion de paix etc. » sont ignorants du principe de l’abrogation, ou pire, le connaissent très bien mais essayent de nous manipuler.

      Anne-Marie Delcambre fournit dans son dernier livre, au chapitre « Sourates du Coran ? », une liste fort précieuse des sourates de La Mecque et de Médine. Sur un total de 114 sourates, 86 sont mecquoises, 28 sont médinoises.

       Sont médinoises les sourates suivantes (dans l’ordre de la révélation) : 2, 8, 3, 33, 60, 4, 99, 57, 47, 55, 13, 76, 65, 98, 59, 24, 22, 63, 58, 49, 66, 64, 61, 62, 48, 5, 9, 110. La sourate 2 est ainsi la première sourate de la période médinoise, et les sourates 5, 9 et 110 en sont les dernières.

       Arrêtons-nous un instant sur deux sourates médinoises particulièrement importantes.

      « La sourate 9, sourate médinoise, l’avant-dernière révélée, est d’une importance primordiale. Le verset 29 de cette sourate 9, révélée en 631, abroge toute disposition antérieure autorisant une attitude plus douce envers les polythéistes, les juifs, les chrétiens, les sabéens et les zoroastriens. Ce verset n’établit plus de différence entre les idolâtres et les monothéistes. » [3]

Or, que dit cette sourate 9, verset 29 ?
« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés ».

        Le verset 4 de la sourate 47 (95ème révélée) est appelé « verset du jihad » : il abroge tous les versets appelant à la paix.

          Et que dit le « verset du jihad » ?
« Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru, frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d’Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions ».

       Il faut donc avoir cette règle de l’abrogation à l’esprit lors de toute discussion au sujet de l’islam, que ce soit avec des gens qui l’ignorent et à qui il faut alors l’expliquer, ou avec des gens qui la connaissent mais comptent sur notre ignorance pour avancer leurs pions et nous induire en erreur…

       Tant que cette règle de l’abrogation ne sera pas abrogée, si j’ose dire, les tentatives de ceux qui conseillent de ne tenir compte que des sourates mecquoises n’ont hélas aucune chance d’aboutir.

     Le Soudanais Mahmoud Muhammad Taha (1908-1985), pour l’avoir proposé, le paya de sa vie : il fut déclaré coupable d’apostasie et fut pendu le 20 janvier 1985. Il avait septante-six ans.

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © carlesen

Source : http://sitasecure.wordpress.com/verset-abrogeant-nasikh-verset-abroge-mansukh/

[1] A.-M. Delcambre, Soufi ou mufti ? Quel avenir pour l’islam ? , Desclée de Brouwer, 2007
[2] A.-M. Delcambre, op. cit. , p. 52
[3] A.-M. Delcambre, op. cit. , p. 27» »

Fin Article.

Commentaire:

     Il y’a des malins qui veulent nous enrober par des inventions rafistoler de toutes pièces, contrecarrons les et faisant une réflexion qui serait religieusement correcte sans pour  autant faire plaisir à quiconque; si ce n’est à Dieu seul. Qu’ALLAH guide nos pas et qu’ALLAH nous pardonne si nous nous trompions. Amen.






La règle d'abrogation-Deuxième partie.(ASC).

12/06/2014 13:18

La règle d'abrogation-Deuxième partie.(ASC).


    H)   La règle d'abrogation-Deuxième partie.(ASC).

Cet article se veut une réponse  à l'article publié sous le nom de " la règle d'abrogation"
  publié sur ce blog même, dans cette catégorie même .(Voir ci-dessous)

a) L'homme, cet ingrat falsificateur et inducteur en erreur.

       Dans leur acharnement à vouloir comprendre le texte coranique dans son ensemble, faisant semblant d'oublier que c’est chose impossible de l’aveu de Dieu même, les théologiens ont inventé la règle d’abrogation et bien d’autres supercheries à dormir debout. Cependant tout plaide pour affirmer que de telles  règles sembles ne pas exister, ce qui jette un grand discrédit sur ces prétendus scientifiques de la religion, le verset 07 de la sourate des Al Imran  que ci-dessous, atteste de cette état de fait.

Traduction (Mienne).

"C'est lui qui vous a fait descendre le livre, parmi ces versets il y a ceux qui sont biens scellés, ceux-là sont le fondement du livre, et d'autres (versets) se ressemblent. Alors que ceux qui ont dans leurs cœurs un orgueil malsain
 suivent ce qui s'est ressemblé en son sein, dans le but de créer
 une brouille zizanique et dans le but de l'interpréter,
alors que c'est ALLAH seul qui connait son interprétation.
 Et ceux érudits
(en science) disent, nous avons cru en lui
(le livre), le tout est de notre seigneur; et il ne se remémore
 que ceux de primes quintessences -7-
 Al Imran (La famille d’Imran).

Le bon Dieu nous appelle donc à croire en tout le livre sans exception,
 et ce qu’on n’est pas arrivé à comprendre aujourd'hui, il se peut qu’on le comprendra demain, en tous les cas le bon Dieu a pris sur lui
la responsabilité de faire part de l'explication de son livre,
 et celui qui s'aventure dans le chemin de la compréhension
 intégrale du texte coranique et voué à l'échec.

Traduction (Mienne).

« Ne fait pas bouger ta langue avec, afin que tu te hâte par lui -16-
 C’est à nous que revient la charge de son assemblage et de son Coran -17- Quand nous l’aurons lu, suis donc son Coran -18-
Puis c’est à nous qu’incombe sa démonstration -19-
 Oh que non; plutôt vous aimez la hâtive
(La vie terrestre) -20-
Et vous délaissez la dernière
(demeure- l’haut delà) -21-
Le jour du jugement.

C'est pourquoi; le sage se tiendra aux versets explicites, claires et sans

ambiguïtés (scellés); ainsi qu'aux meilleurs des versets, comme il a été suggéré par le bon Dieu, cela n’exclut pas le droit de vouloir comprendre le texte coranique, loin s'en faut, mais cela veut tout simplement dire; qu'il faut juste le faire avec la certitude que quiconque humain n'arriverait à comprendre le texte coranique dans son ensemble. On ne comprendra que ce que DIEU a décidé qu’il soit, dire donc que ce livre et le fruit d'un esprit humain et non advenu.

Dieu ne connait que fort bien ce que l'homme peut croire aisément, ce qui lui est difficile de croire et ce qui ne peut pas croire du tout, comme il sait fort bien comment présenter des vérités sous des angles qui; si elles ne sont pas compréhensibles; elles le sont difficilement, et que se pourrait-il; Dieu se prémuni ainsi; contre ceux qu'il ne veut pas qu'ils croient, ce qui les priverait de sa miséricorde. Le verset suivant révèle quelque chose à ce sujet.

Traduction (Mienne).

« Et si nous l’avons fait un coran autre qu’arabe; ils auraient dit; si ces Révélations Divines avaient étaient mieux explicités, est-ce le problème est en son non arabité ou en son arabité? Dit, il est pour ceux qui ont cru; clairvoyance et guérison, et ceux qui ne croient pas; au sein de leurs oreilles occlusion, et il est pour eux aveuglement, ceux-là; se font appeler d’un endroit lointain-44- Foussilate (L’explicité).

Chassons surtout de nos esprits l’idée selon laquelle le Bon Dieu ou le croyant se morfondent pour que les gens croient, au contraire, pour DIEU, que celui qui le veut croit et que celui qui le veut mécroit, sachant que mise en garde contre la mécréance a abouti au destinataire, et qui se résume en une vie éternelle aux enfers. Il y a même plus grave, et qui devrait pousser à une profonde réflexion, puisque il parait, si ce n'est certitude, et vous n’en douterez probablement jamais que  le bon Dieu a utilisé et utilise les grands moyens, mais vraiment de grands moyens, pour qu'il ne croit que celui que Dieu a bien voulu qu'il croit, n’ayez donc pas peur ??

La règle d'abrogation n'a pas lieu d'être, parce que si le bon Dieu
 a voulu qu’elle soit; il l’aurait explicitement révélé,
 mais le Bon Dieu n’a guère laissé de porte ouverte d’où peut s’immiscer
 dans son livre l’homme, cet ingrat, falsificateur et inducteur en erreur.

La règle d’abrogation n’a pas lieu d’être, parce qu’elle donnera droit à des spéculations sur ce qui est retranscrit ( Mansoukh) dans le sens qui a été injustement attribué à ce mot, et sur ce qui ne l’est pas, ce qui créerait la polémique et par la suite une brouille zizanique; comme c’est le cas.

La règle d'abrogation n'a pas lieu d'être, parce  qu'il y a divergence
même sur l'explication ou l'interprétation du  verset
qui est considéré comme source de cette règle.

L’abrogation n’a pas lieu d’être, c’est surtout parce qu'à mon humble avis le terme arabe « nassakha » ne veut absolument pas dire abroger; mais il veut dire transcrire; ou retranscrire c’est-à-dire; écrire, réécrire, dessiner, ou redessiner, et au plus fort de son sens il peut suggérer le sens; s'inspirer, et c’est parce que la langue arabe et le texte coranique lui-même, puisque écrit avec cette langue, sont basés sur la transcription alphabétique des mots, c’est-à-dire sur le dessin du mot, mais rien qu’avec des voyelles, sans consonnes.
[Remarque: La langue arabe originelle n’avait absolument pas de consonne, et même de nos jours tous les écrits se font sans consonnes, hormis peut-être les points de quelques lettres.  La dotation de la langue arabe par des  consonnes et notamment des points; a fait apparaitre certaines différences de lecture du saint coran, puisque la transcription de certains mots a donné lieu à différents sens possibles et ceci; selon la façon avec laquelle on a fait "sonner" le mot ; ainsi certains  mots ont pris le sens  des consonnes qu’on leur a attribué; parce qu’ils s’apprêtaient à cela.]

b)Droit à la différence.

Toujours est-il, à mon humble avis, vu les interprétations et les explications existantes, il y a vraiment de quoi se douter de tout ce que les théologiens racontent. En effet, après lecture des œuvres; surtout celles prétendues éminentes et dignes de confiance, crier sa colère à l’encontre de tout ce beau monde n’est que légitime, si ce n’est un devoir et une nécessité. La vérité c’est qu’il semble que tout a été fait dans une vraie intention de nous mener en bateau, et tout a été bousillé avec le plus grand soin possible. De ce fait; le sens abrogation qu'on a attribué  au mot arabe "nassakha" me parait fantaisiste à plus d'un égard, et n'a se pourrait-il absolument pas lieu d'exister avec la connotation qui lui a été attribuée.
La règle d’abrogation tel qu’elle est définie, n’a pas lieu d’être parce que c’est juste une métaphore émanant de la prétendue assiduité  de prétendus théologiens et qu’aucun verset étiqueté comme abrogé ou abrogeant n’a reçu l’unanimité sur son étiquetage de ces prétendus théologiens même. La question n’est pas tranchée et elle ne sera peut être jamais, cependant quand des divergences apparaissent entre les théologiens, ils les mettent sur le droit à la différence; différence prétendent-ils miséricorde et qu’eux seuls parait-il ont le mérite
 d’en profiter.
Au plus pire des cas, si cette règle existe, les avis la déniant doivent être mis sur le compte du droit à la miséricorde différence, dont tout le monde doit pouvoir en profiter, et non sur le compte d’une enfreinte quelconque des directives Divines explicites et bien clairs, puisque de telles directives relatives à ce sujet précisément n’existent absolument pas.

c)     Le voyage Divin.

L'une des fantaisies magistrale des théologiens, c’est celle qui attribue au prophète (Le salut de DIEU soit sur lui) son ascension vers le ciel,
"
El Ourouj- Le voyage divin" au moment où il n'en n'est rien,
le Coran même atteste de cela.
 Ce qui a été certainement permis au prophète
(le salut de Dieu soit sur lui)
par le bon DIEU; c'est seulement un voyage pendant une nuit de Médine
 à El Qods et rien d'autre.

L'histoire même de l’ascension est digne des contes des mille et une nuit,
 rien de vrai. Le conteur du récit de l’ascension n’a aucunement ménagé son imagination pour nous emporter vers des cieux dont il ne connait apparemment rien, puisque il confond les cieux de ce bas monde, c'est-à-dire les nôtres,
 ceux que nous voyons et qui sont sur nos têtes, et ceux de l’haut delà,
si elles existent bien sûr, puisque nous  ne savons rien de cela. Pourtant, personne n’ose s’opposer même contre un aussi flagrant délire que cela.
L’église ne continue-t-elle pas de vendre des titres de propriété du paradis; sans que nul ne lève le petit doit, bizarre est l’homme devant la religion.
Pourtant; le BON DIEU qui n’a jamais imposé de telles absurdités et qui n’appelle qu’à la raison et rien qu’à la raison; se trouve dénié. Petit homme; réveille-toi de ton hibernation, prend tes responsabilités devant la postérité
pour ton inique dénie et falsification.

Le verset attestant que  le prophète (Le salut de DIEU soit sur lui) ne pouvait
pas faire d'ascension vers le ciel et l'un des plus  évocateur en terme
de pouvoir et de majestuosité divine, mais surtout de savoir scientifique
 comme on ne peut l’imaginer,  mais son sens a été travesti  de façon
 tellement bête qu'on se  demande toujours; comment arrive-t-on
à croire à de telles allégations et supercheries.

 Le soin est laissé aux uns et aux autres pour trouver le verset
en question ainsi que sa véritable interprétation, quoiqu’il est tout
 ce qu’il y a d’explicite au point ou ça laisse perplexe de voir de prétendus
hommes se vantant  la connaissance forger et admettre de telles
aberrations, mais surtout de se demander qu’a cette humanité pour
 qu’elle les croit, c’est bizarre, déroutant et outrageant à tout égard.

d)    Renouveau du Coran.

Par  l’occasion, notant que ce que les théologiens n’arrivent pas à comprendre
 du texte Coranique; quand ils ne  le mettent pas  sur le compte de l’abrogation, il est le plus souvent mis sur le compte de: mais celui-là
(Le verset qui pose problème de compréhension ou d’éthique), pas de problème; celui-là; ’’il se rapporte à l’haut delà, point à la ligne’’, quand on ne le fait pas rapporter à un événement ou à une personne de l’époque du prophète. Il semble que tout a été fait pour attribuer presque à chaque verset, voir à chaque mot du coran; une raison ou une cause de révélation aussi farfelue et incongrue que peut l’être les contes fantastiques pour enfants. A les croire sur parole, rien ne peut subsister du saint coran; puisque une partie aura été abrogé et l’autre partie ne concernerait à coup sûr que ceux antérieurs, il y a vraiment lieu de se demander; mais à quoi croient ces messieurs?

Ceci étant, c’est le Bon Dieu qui  procède à la retranscription des versets
 de son livre et continue de le faire, au moment où  il fait  oublier d’autres
versets et il continue de le faire, et c'est Dieu seul qui peut savoir ce qui a fait oublier; alors que ce qui a été retranscrit est sous nos yeux, cependant jamais quiconque ne peut prétendre savoir les versets que le bon Dieu
a fait oublier ou retranscrire, le bon Dieu ne prend pas conseil auprès des inducteurs en erreur ni il en prend d’eux des témoins. Le phénomène de retranscription et d'oublier a se pourrait-il d’ailleurs une grande
 importance autre que celle préconisé et qui est de couper court à ceux qui peuvent prétendre vouloir intervenir sur le texte coranique pour le changer, puisque c'est Dieu lui-même qui s'en occupe directement de son renouveau ainsi que de sa sauvegarde, autrement, à l'heure actuelle on aurait eu entre les mains sans le moindre petit doute possible un semblant de torchon et non un coran. Dieu merci.

Ainsi donc; le Coran est renouvelé par le bon Dieu soit par la retranscription
de nouveaux versets à la place d'anciens, ce qui inclut obligatoirement qu'il en fait oublier les versets originels et qu'il impose
(incruste en nous) les nouveaux versets comme ayant toujours existaient, ou par le  simple fait de faire oublier d’anciens versets pour une miséricorde divine.  

Il ressort que tout ce remue-ménage autour de la règle d’abrogation n’est que tricherie et un essaie de monopoliser la parole divine, au moment où Dieu
 lui-même à interdit le monopole de sa parole par des suppositions
 et des acrobaties que Dieu nous a épargné. Et pour cause, les références aux dates de révélation des versets, et leur  rôle supposé dans la compréhension du texte coranique est inacceptable vu que c'est compliqué, et que rien ne 
 prouve leur l'authenticité, et parce qu'elles seraient obligatoirement fausses, puisque celui qui a triché sur l'évident; que ferait-il  de ce qui est saugrenu et qui lui donne la complète liberté de divaguer?

Voici deux traductions du verset à la base de la polémique de l'abrogation, la première c’est celle de l’article; et qui figure dans les manuels de traduction basique, bien sûr, sans auteur pour la plus part; la seconde est bien mienne. Certes; toutes les traductions ne sont qu’un essai de compréhension et d’explication, et personne ne peut prétendre détenir toute la vérité, DIEU seul sait vraiment ce qu'il en ait, toutefois par la grâce de DIEU, les sincères trouverons toujours quelque chose qui les mènerait à ce fil qui conduit à une foi certaine, c'est compliqué et dure, mais certainement pas impossible, et ce n’est vraiment pas la facilité comme ont tendance à croire ceux dans l’ignorance.

Traduction première:

« Si nous abrogeons un verset ou si nous le faisons passer à l’oubli,
 nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne sais-tu pas
qu’Allah est omnipotent ? -106- la vache ».

Traduction seconde ( mienne).

"Tout verset que nous retranscrivions ou que nous faisons oublier, nous en apportions un meilleur que lui ou un de semblable, ne sais tu pas qu'ALLAH à pouvoir de tout?-106- La vache.






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