De la complémentarité, à l’égalité, Homme-Femme.
I) Ce qu’il en est du droit de frapper la femme en Islam.
NB : Ce qui suit, est un Essai d’Approche, bien personnel du verset relatif au sujet, et ça n’engage que ma personne.
a) Traduction personnelle du verset relatif à l’objet :
« Les hommes sont plus droits et meilleurs juges que les femmes; (Les hommes ont un sens plus aigüe de l’équité que les femmes) avec ce dont ALLAH a donné la préférence aux uns sur les autres; et avec ce qu'ils dépensent de leur argent. Ainsi; les bienfaisantes; sont pieuses; préservant l'occulte; avec ce dont ALLAH préserve, et celles que vous craignez la rébellion; avisez-les, quittez-les aux lits et frappez-les, si elles vous obéissent, alors ne cherchez point à les supplanter par d'autres, c'est que ALLAH était; éminent savant, fort bien supérieur -34-
Coran- verset 34 de la 4ième Sourate, dite sourate des femmes.
b) Un verset de mise en garde bienveillante ; plus qu’autre chose (?).
Dans cette sourate, et au contraire de ce que pensent ou prétendent les fomentateurs de polémiques, il est fait un très grand éloge aux femmes, par le très important rôle qu’elles ont à jouer dans le couple, et qui est celui de sauvegarder son intimité, ajouté à cela, cette sauvegarde fait d’elles des bienfaisantes et des pieuses, dont la rétribution auprès du seigneur et sans égale. Il n’est rapporté dans aucune autre religion que le Divin attribue à la femme la piété et la bienfaisance par le seul fait qu’elle veille sur son ménage. C’est pourquoi, dans le contexte de ce verset, c’est plutôt une haute considération que le divin fait aux femmes, que d’autre chose.
Si on étudie de près le verset du point de vu d’un vrai homme, on constatera que le bon Dieu demande à l’homme de supporter la femme, même si elle l’offense. En effet, disant les choses comme elles sont, et comme elles doivent d’être dites, si votre femme se refuse à vous, et continue de se refuser même après un avertissement verbale, puis par l’action, qui est celle de quitter son lit pour un moment, dans l’espoir qu’elle se reprend, pour enfin arriver ,si on le désirer, aux mains, c’est que votre femme vous méprise au plus haut point , et que vous n’êtes pour elle qu’un radin. Grave encore, la femme aurait commis un délit prémédité (délit d’initié) contre son époux, puisque en signant son acte de mariage, elle était au courant de cette clause, il lui appartient donc de la respecter, et ce n’est pas la mer à boire.
La femme doit considérer ce verset comme une mise en garde bienveillante contre le fait que, si frustré et contrarié, son joli nounou de chimpanzé, peut devenir un furieux et dangereux gorille à tout casser sur sa route.
c) Permettre la réussite et la pérennisation du couple ( ??):
Il est à penser que dans ce verset, Dieu veut donner toutes les chances à la réussite, et à la pérennisation du couple, et ce, au dépend de l’homme, en lui demandant une première fois de faire fi de son égos, et une seconde fois, chose non moins importante, et qui est celle de supporter les dépenses du couple, que les mécréants se refusent , et ne veulent l’accepter, sous le faux prétexte, bien évidement comme c’est toujours le cas pour les mécréants, et qui est celui de dire, iniquement, que la femme doit avoir les mêmes charges que l’homme dans le couple, au moment où, disant, pour embarrasser un peu les mécréants, que le naturel, contre qui, on ne peut rien, plaide pour que la femme soit dispensait de ce devoir, pour la lourde charge qui est la sienne dans le couple. Mais comme toujours, et de fait, les mécréants sont bien radins, ils préfèrent mentir et accepteront volontiers que la femme les frappe, quitte à lui permettre de prendre en charge les dépenses du couple avec eux, si pas toute seule, vue la pression sous laquelle elle est mis, et qui est dépourvue de tout respect pour sa féminité. Drôle d’hommes ; que sont les mécréants, honnêtement parlant, on dirait que les mécréants veulent le beurre et l’argent du beurre, penses-y !
Il est demandé au croyant par le bon Dieu, tout au long de sa vie, d'avoir un contrôle poussé de ses réactions et de ses actions. Ce verset nous donne un exemple des plus significatifs. En effet, imagine qu’une femme de mécréant qui se refuse à lui, l’une deux :
1-Ou il l’a roue de coups, et d’insultes aussi grossières que vous ne pouvez imaginer, et c’est chose fréquente, ne vous trompez pas.
2- Ou il la quitte ; pour aller voir l’une de ses amantes, puisque c’est souvent qu’ils ont plus qu’une, en raison du rien n’empêche. Dans le monde de la mécréance, on ne croit absolument en rien, et tout acte aussi vil soit-il, peut trouver justification par le biais des passions et du radotage, tel que le fait de dire que certaines femmes peuvent être masochistes, c’est-à dire ne réjouissant que sous les coups du fouet, ce qui, justificatif de factices scientifiques en mains, les mécréants se donnent le droit de martyriser les femmes. Les pauvres femmes généralement ne savant ce qu’il leur arrive, consentent et admettent le dérèglement de leur mental, rien que ça, puisque ne pouvant opposer un déni à la science. Et comment ? Qui êtes-vous pour démentir la science, mesdames ? Dieu, si, on le dément, volontiers.
Devant une telle situation, le vrai croyant doit faire preuve de patience, pour se conformer aux directives divines suscitées, et croyez-le, c’est chose pas facile du tout.
Sur cela, n’est-on pas en droit de se demander :
1-Quelle est le comportement le plus sain ?
2- A qui profite la prescription divine dans ces conditions ? On osera, peut-être, ici, faire part d’une chose que personne n’ose dire ou peux, et qui est, Dieu n’a aucunement fait obligation aux croyants de justifier ce que Dieu a enjoint, mais il a juste demandé aux croyants de croire en ce qu’il a dit, de s’exécuter en premier lieu et si possible et de faire part de celui-ci, à ceux qui le souhaitent. Parce que, Dieu a enjoint aux humains, dépasse souvent notre petite compréhension. L’important c’est de croire en Dieu preuve à l’appui, une fois en possession de cet acquis, vous devrez vous résigner bon an, mal an, à vous appliquer, c’est pourquoi, toute la sagesse réside dans le fait d’acquérir la conviction ultime de l’existence de Dieu, le reste vient de lui-même. Tout autre discours n’est que polémique, et si de bonne foi, ça serait un essai de compréhension, et rien d’autre. Dieu ne se morfond pas pour que les gens croient, au contraire, que vous croyez ou non, Dieu et les croyants n’ont que faire. En croyant c’est votre vie que vous sauvez en premier lieu, et votre peau en second lieu.
Maintenant pour ceux qui prétendent voir en cette sourate, la mise en avant de la supériorité de l’homme sur la femme, il y a lieu de leur dire, que ; Sans, ni différence, ni disparité la vie ne serais pas telle que nous la connaissant, magique, magique surtout avec la femme, en tant que vraie femelle, digne d’être femme et mère, et non comme elle est devenue, un animal inqualifiable , tout en sachant que, quand Dieu donne quelques faveurs à quiconque être, surtout humain, il lui inflige son équivalent de devoir , c’est pourquoi, Dieu nous demande de ne pas souhaiter avoir, ou vouloir entrer en possession de ce que par quoi Dieu a donné la préférence aux uns sur les autres, dans tous les domaines de la vie , en même temps, il nous invite à s’adresser directement à lui pour demander de ses faveurs et bienfaits.
Dans la vie, il y a le riche et le pauvre, l’intelligent et le moins intelligent, la chèvre et la vache,…etc, ainsi que l’homme et la femme. C’est une obligation de la vie pour que la femme soit différente de l’homme et vice versa, parce qu’à l’évidence , tout être est créée avec les capacités qui devront lui permettre de répondre au mieux à sa tâche, et de vivre le mieux possible dans son milieu, c’est pourquoi , on ne peut pas parler ici de supériorité ou d’infériorité, mais on doit penser en terme de complémentarité, parce que, ce qui vous est octroyé, l’est uniquement pour satisfaire une fonction bien définie et de la meilleure façon qu’il soit, et c’est parce que, si quelques privilèges vous sont octroyés en apparences, soyez-en convaincu, que des devoirs vous sont imposés à l’arrivée, devoirs, dont le plus souvent en ne se rend même pas compte.
Et de ce qu’il me parait, et que bien d’autres trouvent évident, la femme et en quelque sorte un aide à l’homme pour parfaire au mieux l’obligation d’adoration du seigneur, c’est pourquoi, il lui est tenu plus rigueur dans l’accomplissement de l’acte d’adoration de Dieu qu’il n’est tenu à la femme. Que l’homme ne se réjouit donc pas, s’il pense posséder quelques privilèges ; au vue dérisoires.
II)De l’Egalité, Homme-Femme ?
Voici la traduction bien personnelle du verset qui peut surprendre plus qu’un, quant à l’égalité Homme-Femme, puisque il peut avoir été passé sous silence :
«Notre seigneur, nous avons entendu un héraut appelant à la foi, c'est que; croyez en votre seigneur, alors nous avons cru, notre seigneur, pardonnez-nous; nos pèches; et dépassez sur nos méfaits et décédez nous avec les délicats bienfaiteurs -193- Notre seigneur, et faites nous parvenir ce vous nous avez promis par le biais de vos prophètes, et ne nous frappez pas d'ignominie le jour du jugement dernier, c'est que vous ne faites pas défaut au rendez-vous -194- Leur seigneur les a satisfait, c'est que je ne fais jamais perdre le travail d'un travailleur parmi vous; qu'il soit mâle ou femelle, vous êtes les uns des autres. Que ceux qui ont immigré, et qui ont été expulsés de leurs demeures, et qui ont été martyrisés à cause de moi, et qui ont combattu, et qui se sont fait tuer, ne dépasserais-je sur leurs péchés, et ne les ferais-je pas entrer des paradis sous lesquels coulent des rivières, rétribution de la part d'ALLAH, et ALLAH a la meilleure rétribution-195-
(Les verset, 193,194,195 de la 2ième sourate du saint Coran, sourate dite des Al Imrane.)
Ici, pas besoin d’ajouter quelque chose, c’est bien clair.