1)but de la vie ?
Je trouve que prétendre avoir un but dans la vie en dehors de celui qui peut nous garantir une éternité aisée et agréable; serait se leurrer ou se ridiculiser à bon escient. Donc; ou que nous arrivons à se faire ce but et à l’atteindre; ou toute notre vie se réduit à une peau de chagrin; c’est-à-dire sans but aucun, puisque tous les autres buts ne sont qu’illusion.
2)La fatalité ?
La chose la plus dangereuse, c’est certainement celle que la fatalité nous a imposé; en nous parachutons dans ce bas monde, puisque nous sommes perdants à coup sûr. Personne ne peut prétendre vaincre; si cette même fatalité ne l’a pas permis. Il s’agit là de la perte la plus monumentale que peut nous frapper, pensez-y.
3)Les êtres de silicone :
Certains crient vite victoire à l’annonce de découvertes scientifiques, surtout quand il s’agit de découvertes qui touchent aux objets de la vie, comme c’est le cas de l’expérience par laquelle des scientistes Américains tentent prétendent-ils d’inverser l’horloge biologique de la vie qui mène de la jeunesse vers la vieillesse. Les raisons de ces faux cries de fausse joie, sont dues pour l’essentiel à l’ignorance de la science et de Dieu qui frappe la majeur partie de l’humanité. Eh bien, ne soyez pas abattu quand la science vous décevra; et elle va vous décevoir comme jamais auparavant, puisque la science a atteint le paroxysme de ces forfaits. Sachons que la jeunesse et la vieillesse, sont des éléments qui relèvent uniquement de Dieu, comme la vie est la mort, quoiqu’on puisse faire ou tenter, ils le resteront toujours. A ce sujet, c’est certains que c’est le temps seul qui nous départagera; c’est à dire, après qu’il sera trop tard pour bien d’entre nous. Jusque la, je vous invite à sauvegarder votre santé par une bonne hygiène est une bonne nourriture, ainsi que de s’éloigner si possible à milles lieux de ces charlatans à la silicone, parce que si on se fie à Sir Thoreau, Henry David ’’ Le mensonge qui est derrière nous et devant nous ne serait d’aucun intérêt comparé au mensonge qui nous habite’’.