Toute la science.

VIP-Blog de abdoullah16

Toute la science.
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

abdoullah161@outlook.com

132 articles publiés
0 commentaire posté
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 26/11/2012 21:23
Modifié : 06/11/2018 07:32

Garçon (54 ans)
Origine : fes
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Bloc_Note.(B.N). ] [ Traduction Du Saint Coran.(T.S.C). ] [ La Réalité Divine.(RD). ] [ Pages Ephémères.(P.Eph) ] [ Nouvelles Théories?(NT). ] [ Au Jour Le Jour.(AJLJ). ] [ Apperçu Sur Le Saint Coran.(ASC). ] [ Autres Religions.(AR). ]

La règle d'abrogation-Deuxième partie.(ASC).

12/06/2014 13:18

La règle d'abrogation-Deuxième partie.(ASC).


    H)   La règle d'abrogation-Deuxième partie.(ASC).

Cet article se veut une réponse  à l'article publié sous le nom de " la règle d'abrogation"
  publié sur ce blog même, dans cette catégorie même .(Voir ci-dessous)

a) L'homme, cet ingrat falsificateur et inducteur en erreur.

       Dans leur acharnement à vouloir comprendre le texte coranique dans son ensemble, faisant semblant d'oublier que c’est chose impossible de l’aveu de Dieu même, les théologiens ont inventé la règle d’abrogation et bien d’autres supercheries à dormir debout. Cependant tout plaide pour affirmer que de telles  règles sembles ne pas exister, ce qui jette un grand discrédit sur ces prétendus scientifiques de la religion, le verset 07 de la sourate des Al Imran  que ci-dessous, atteste de cette état de fait.

Traduction (Mienne).

"C'est lui qui vous a fait descendre le livre, parmi ces versets il y a ceux qui sont biens scellés, ceux-là sont le fondement du livre, et d'autres (versets) se ressemblent. Alors que ceux qui ont dans leurs cœurs un orgueil malsain
 suivent ce qui s'est ressemblé en son sein, dans le but de créer
 une brouille zizanique et dans le but de l'interpréter,
alors que c'est ALLAH seul qui connait son interprétation.
 Et ceux érudits
(en science) disent, nous avons cru en lui
(le livre), le tout est de notre seigneur; et il ne se remémore
 que ceux de primes quintessences -7-
 Al Imran (La famille d’Imran).

Le bon Dieu nous appelle donc à croire en tout le livre sans exception,
 et ce qu’on n’est pas arrivé à comprendre aujourd'hui, il se peut qu’on le comprendra demain, en tous les cas le bon Dieu a pris sur lui
la responsabilité de faire part de l'explication de son livre,
 et celui qui s'aventure dans le chemin de la compréhension
 intégrale du texte coranique et voué à l'échec.

Traduction (Mienne).

« Ne fait pas bouger ta langue avec, afin que tu te hâte par lui -16-
 C’est à nous que revient la charge de son assemblage et de son Coran -17- Quand nous l’aurons lu, suis donc son Coran -18-
Puis c’est à nous qu’incombe sa démonstration -19-
 Oh que non; plutôt vous aimez la hâtive
(La vie terrestre) -20-
Et vous délaissez la dernière
(demeure- l’haut delà) -21-
Le jour du jugement.

C'est pourquoi; le sage se tiendra aux versets explicites, claires et sans

ambiguïtés (scellés); ainsi qu'aux meilleurs des versets, comme il a été suggéré par le bon Dieu, cela n’exclut pas le droit de vouloir comprendre le texte coranique, loin s'en faut, mais cela veut tout simplement dire; qu'il faut juste le faire avec la certitude que quiconque humain n'arriverait à comprendre le texte coranique dans son ensemble. On ne comprendra que ce que DIEU a décidé qu’il soit, dire donc que ce livre et le fruit d'un esprit humain et non advenu.

Dieu ne connait que fort bien ce que l'homme peut croire aisément, ce qui lui est difficile de croire et ce qui ne peut pas croire du tout, comme il sait fort bien comment présenter des vérités sous des angles qui; si elles ne sont pas compréhensibles; elles le sont difficilement, et que se pourrait-il; Dieu se prémuni ainsi; contre ceux qu'il ne veut pas qu'ils croient, ce qui les priverait de sa miséricorde. Le verset suivant révèle quelque chose à ce sujet.

Traduction (Mienne).

« Et si nous l’avons fait un coran autre qu’arabe; ils auraient dit; si ces Révélations Divines avaient étaient mieux explicités, est-ce le problème est en son non arabité ou en son arabité? Dit, il est pour ceux qui ont cru; clairvoyance et guérison, et ceux qui ne croient pas; au sein de leurs oreilles occlusion, et il est pour eux aveuglement, ceux-là; se font appeler d’un endroit lointain-44- Foussilate (L’explicité).

Chassons surtout de nos esprits l’idée selon laquelle le Bon Dieu ou le croyant se morfondent pour que les gens croient, au contraire, pour DIEU, que celui qui le veut croit et que celui qui le veut mécroit, sachant que mise en garde contre la mécréance a abouti au destinataire, et qui se résume en une vie éternelle aux enfers. Il y a même plus grave, et qui devrait pousser à une profonde réflexion, puisque il parait, si ce n'est certitude, et vous n’en douterez probablement jamais que  le bon Dieu a utilisé et utilise les grands moyens, mais vraiment de grands moyens, pour qu'il ne croit que celui que Dieu a bien voulu qu'il croit, n’ayez donc pas peur ??

La règle d'abrogation n'a pas lieu d'être, parce que si le bon Dieu
 a voulu qu’elle soit; il l’aurait explicitement révélé,
 mais le Bon Dieu n’a guère laissé de porte ouverte d’où peut s’immiscer
 dans son livre l’homme, cet ingrat, falsificateur et inducteur en erreur.

La règle d’abrogation n’a pas lieu d’être, parce qu’elle donnera droit à des spéculations sur ce qui est retranscrit ( Mansoukh) dans le sens qui a été injustement attribué à ce mot, et sur ce qui ne l’est pas, ce qui créerait la polémique et par la suite une brouille zizanique; comme c’est le cas.

La règle d'abrogation n'a pas lieu d'être, parce  qu'il y a divergence
même sur l'explication ou l'interprétation du  verset
qui est considéré comme source de cette règle.

L’abrogation n’a pas lieu d’être, c’est surtout parce qu'à mon humble avis le terme arabe « nassakha » ne veut absolument pas dire abroger; mais il veut dire transcrire; ou retranscrire c’est-à-dire; écrire, réécrire, dessiner, ou redessiner, et au plus fort de son sens il peut suggérer le sens; s'inspirer, et c’est parce que la langue arabe et le texte coranique lui-même, puisque écrit avec cette langue, sont basés sur la transcription alphabétique des mots, c’est-à-dire sur le dessin du mot, mais rien qu’avec des voyelles, sans consonnes.
[Remarque: La langue arabe originelle n’avait absolument pas de consonne, et même de nos jours tous les écrits se font sans consonnes, hormis peut-être les points de quelques lettres.  La dotation de la langue arabe par des  consonnes et notamment des points; a fait apparaitre certaines différences de lecture du saint coran, puisque la transcription de certains mots a donné lieu à différents sens possibles et ceci; selon la façon avec laquelle on a fait "sonner" le mot ; ainsi certains  mots ont pris le sens  des consonnes qu’on leur a attribué; parce qu’ils s’apprêtaient à cela.]

b)Droit à la différence.

Toujours est-il, à mon humble avis, vu les interprétations et les explications existantes, il y a vraiment de quoi se douter de tout ce que les théologiens racontent. En effet, après lecture des œuvres; surtout celles prétendues éminentes et dignes de confiance, crier sa colère à l’encontre de tout ce beau monde n’est que légitime, si ce n’est un devoir et une nécessité. La vérité c’est qu’il semble que tout a été fait dans une vraie intention de nous mener en bateau, et tout a été bousillé avec le plus grand soin possible. De ce fait; le sens abrogation qu'on a attribué  au mot arabe "nassakha" me parait fantaisiste à plus d'un égard, et n'a se pourrait-il absolument pas lieu d'exister avec la connotation qui lui a été attribuée.
La règle d’abrogation tel qu’elle est définie, n’a pas lieu d’être parce que c’est juste une métaphore émanant de la prétendue assiduité  de prétendus théologiens et qu’aucun verset étiqueté comme abrogé ou abrogeant n’a reçu l’unanimité sur son étiquetage de ces prétendus théologiens même. La question n’est pas tranchée et elle ne sera peut être jamais, cependant quand des divergences apparaissent entre les théologiens, ils les mettent sur le droit à la différence; différence prétendent-ils miséricorde et qu’eux seuls parait-il ont le mérite
 d’en profiter.
Au plus pire des cas, si cette règle existe, les avis la déniant doivent être mis sur le compte du droit à la miséricorde différence, dont tout le monde doit pouvoir en profiter, et non sur le compte d’une enfreinte quelconque des directives Divines explicites et bien clairs, puisque de telles directives relatives à ce sujet précisément n’existent absolument pas.

c)     Le voyage Divin.

L'une des fantaisies magistrale des théologiens, c’est celle qui attribue au prophète (Le salut de DIEU soit sur lui) son ascension vers le ciel,
"
El Ourouj- Le voyage divin" au moment où il n'en n'est rien,
le Coran même atteste de cela.
 Ce qui a été certainement permis au prophète
(le salut de Dieu soit sur lui)
par le bon DIEU; c'est seulement un voyage pendant une nuit de Médine
 à El Qods et rien d'autre.

L'histoire même de l’ascension est digne des contes des mille et une nuit,
 rien de vrai. Le conteur du récit de l’ascension n’a aucunement ménagé son imagination pour nous emporter vers des cieux dont il ne connait apparemment rien, puisque il confond les cieux de ce bas monde, c'est-à-dire les nôtres,
 ceux que nous voyons et qui sont sur nos têtes, et ceux de l’haut delà,
si elles existent bien sûr, puisque nous  ne savons rien de cela. Pourtant, personne n’ose s’opposer même contre un aussi flagrant délire que cela.
L’église ne continue-t-elle pas de vendre des titres de propriété du paradis; sans que nul ne lève le petit doit, bizarre est l’homme devant la religion.
Pourtant; le BON DIEU qui n’a jamais imposé de telles absurdités et qui n’appelle qu’à la raison et rien qu’à la raison; se trouve dénié. Petit homme; réveille-toi de ton hibernation, prend tes responsabilités devant la postérité
pour ton inique dénie et falsification.

Le verset attestant que  le prophète (Le salut de DIEU soit sur lui) ne pouvait
pas faire d'ascension vers le ciel et l'un des plus  évocateur en terme
de pouvoir et de majestuosité divine, mais surtout de savoir scientifique
 comme on ne peut l’imaginer,  mais son sens a été travesti  de façon
 tellement bête qu'on se  demande toujours; comment arrive-t-on
à croire à de telles allégations et supercheries.

 Le soin est laissé aux uns et aux autres pour trouver le verset
en question ainsi que sa véritable interprétation, quoiqu’il est tout
 ce qu’il y a d’explicite au point ou ça laisse perplexe de voir de prétendus
hommes se vantant  la connaissance forger et admettre de telles
aberrations, mais surtout de se demander qu’a cette humanité pour
 qu’elle les croit, c’est bizarre, déroutant et outrageant à tout égard.

d)    Renouveau du Coran.

Par  l’occasion, notant que ce que les théologiens n’arrivent pas à comprendre
 du texte Coranique; quand ils ne  le mettent pas  sur le compte de l’abrogation, il est le plus souvent mis sur le compte de: mais celui-là
(Le verset qui pose problème de compréhension ou d’éthique), pas de problème; celui-là; ’’il se rapporte à l’haut delà, point à la ligne’’, quand on ne le fait pas rapporter à un événement ou à une personne de l’époque du prophète. Il semble que tout a été fait pour attribuer presque à chaque verset, voir à chaque mot du coran; une raison ou une cause de révélation aussi farfelue et incongrue que peut l’être les contes fantastiques pour enfants. A les croire sur parole, rien ne peut subsister du saint coran; puisque une partie aura été abrogé et l’autre partie ne concernerait à coup sûr que ceux antérieurs, il y a vraiment lieu de se demander; mais à quoi croient ces messieurs?

Ceci étant, c’est le Bon Dieu qui  procède à la retranscription des versets
 de son livre et continue de le faire, au moment où  il fait  oublier d’autres
versets et il continue de le faire, et c'est Dieu seul qui peut savoir ce qui a fait oublier; alors que ce qui a été retranscrit est sous nos yeux, cependant jamais quiconque ne peut prétendre savoir les versets que le bon Dieu
a fait oublier ou retranscrire, le bon Dieu ne prend pas conseil auprès des inducteurs en erreur ni il en prend d’eux des témoins. Le phénomène de retranscription et d'oublier a se pourrait-il d’ailleurs une grande
 importance autre que celle préconisé et qui est de couper court à ceux qui peuvent prétendre vouloir intervenir sur le texte coranique pour le changer, puisque c'est Dieu lui-même qui s'en occupe directement de son renouveau ainsi que de sa sauvegarde, autrement, à l'heure actuelle on aurait eu entre les mains sans le moindre petit doute possible un semblant de torchon et non un coran. Dieu merci.

Ainsi donc; le Coran est renouvelé par le bon Dieu soit par la retranscription
de nouveaux versets à la place d'anciens, ce qui inclut obligatoirement qu'il en fait oublier les versets originels et qu'il impose
(incruste en nous) les nouveaux versets comme ayant toujours existaient, ou par le  simple fait de faire oublier d’anciens versets pour une miséricorde divine.  

Il ressort que tout ce remue-ménage autour de la règle d’abrogation n’est que tricherie et un essaie de monopoliser la parole divine, au moment où Dieu
 lui-même à interdit le monopole de sa parole par des suppositions
 et des acrobaties que Dieu nous a épargné. Et pour cause, les références aux dates de révélation des versets, et leur  rôle supposé dans la compréhension du texte coranique est inacceptable vu que c'est compliqué, et que rien ne 
 prouve leur l'authenticité, et parce qu'elles seraient obligatoirement fausses, puisque celui qui a triché sur l'évident; que ferait-il  de ce qui est saugrenu et qui lui donne la complète liberté de divaguer?

Voici deux traductions du verset à la base de la polémique de l'abrogation, la première c’est celle de l’article; et qui figure dans les manuels de traduction basique, bien sûr, sans auteur pour la plus part; la seconde est bien mienne. Certes; toutes les traductions ne sont qu’un essai de compréhension et d’explication, et personne ne peut prétendre détenir toute la vérité, DIEU seul sait vraiment ce qu'il en ait, toutefois par la grâce de DIEU, les sincères trouverons toujours quelque chose qui les mènerait à ce fil qui conduit à une foi certaine, c'est compliqué et dure, mais certainement pas impossible, et ce n’est vraiment pas la facilité comme ont tendance à croire ceux dans l’ignorance.

Traduction première:

« Si nous abrogeons un verset ou si nous le faisons passer à l’oubli,
 nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne sais-tu pas
qu’Allah est omnipotent ? -106- la vache ».

Traduction seconde ( mienne).

"Tout verset que nous retranscrivions ou que nous faisons oublier, nous en apportions un meilleur que lui ou un de semblable, ne sais tu pas qu'ALLAH à pouvoir de tout?-106- La vache.






la règle d'abrogation-Troisième partie.(ASC).

12/06/2014 14:26

la règle d'abrogation-Troisième partie.(ASC).



I) la règle d'abrogation-Troisième partie.(ASC).

a) C’est la faute au capiteux.

Il n'y a assurément pas deux qui peuvent réfuter le fait qu'un schéma
(un dessin) vaut mieux qu'un long discours, ce qui remplacerait
 au mieux le schéma en matière de littérature, serait un exemple,
et pour couper court à toute spéculation, on se tiendrait à l'exemple des théologiens; tel que rapporté par l'auteur de l'article de l'abrogation.

Voici le verset originel supposé abroger  par le verset de la prohibition du vin.

Ci-dessous la traduction du verset telle qu'elle apparait dans le 
texte de l'auteur de l’article de l’abrogation:
 « Des fruits des palmiers et des vignes, vous retirez une boisson enivrante
et un aliment excellent. Il y a vraiment  là un signe pour les gens qui
 raisonnent »-67- Les abeilles.

Voici une traduction bien personnelle

" Et des fruits des palmiers et des vignes; vous prenez un capiteux
 et de bonnes ressources, c'est qu'il y a en cela; des Révélation Divines
 pour des gens raisonnables -67- les abeilles.

1- Le terme arabe "Rizke" englobe tous les ressources  et  les bienfaits, dans ce cas bien précis; il peut s’agir notamment des raisins secs et des dates; parce qu'ils sont les dérivés de ces arbres au même titre que le capiteux; comme il peut s’agir de tout bien qu’on peut tirer des fruits des vignes et des palmiers.

2- Dans ce verset, le terme bon; ne concernerait en faite que les ressources; et non le capiteux, quoique que le terme arabe "Hassan" ne veut absolument pas dire bon sans entache, au contraire; ce terme englobe même une certaine idée de pas vraiment bon, le terme français le plus proche du terme ‘Hassan’ serait "pas mal".

3- Dire qu'une chose n'est pas mal, ou qu'elle est bien; n'enlève rien à ce qu’elle peut nuire. Prenez les bonbons; ou même les gâteaux, qu'on qualifie généralement de succulent, alors qu'on sait pertinemment  qu'ils peuvent
être d'une nuisance terrible.

4- L'homme a toujours retiré le vin des raisins, des dates et de bien d'autres fruits,  il continu de le faire et il le fera apparemment toujours, notamment les bédouins de l'époque de notre cher prophète. Aucune contradiction dans cette information, sauf si on considère que le message est adressé à ceux qui n'ont pas le droit de le faire (les croyants), ou encore; on peut se dire; mais comment le prohibé peut-il être  bon? En projetant ainsi au capiteux la qualité par laquelle ont été qualifiés les seules ressources. Ce lien direct et cette confusion; ont insufflé une forme de contradiction entre ce verset et le verset de la prohibition du vin; comme il sera vu par la suite. Pour s'en défaire de cette incompréhension et eux les savants, ils ont tout simplement abrogé le verset en question, c'est ce qu'ils appellent l'ablation, efficace et simple.

Le bon sens veut que ce verset soit un message adressé indifféremment aux mécréants et aux croyants et non aux seuls croyants, parce que, si le mécréant obtient de ces fruits; ajouté au capiteux les autres produits dérivés, le croyant quand à lui se contentera des dérivés non prohibés. Encore une fois; sans cette supposition  inconsciente; qui suggère une restriction au niveau du destinataire du message de ce verset; aucune contradiction n’est à soulever. Il se peut même qu’a travers ce verset le Bon Dieu a voulu tout simplement
attirer notre attention sur un important fait, qui serait le pouvoir
 qu’a un produit naturel de donné naissance à de bonnes ressources
 et à de bien moins bonnes comme le capiteux. Et c’est cette interprétation
 qui me parait la plus plausible, et qui serait de bon augure.

a)  La foi une question d’acharnement.

Pour comprendre mieux cela, on doit avoir vraiment lu le saint Coran
en sa totalité plus d'une fois, le meilleur serait que nous l’ayons appris.
Le  coran est un livre qui diffère de tous les autres, en tout. L’une des caractéristiques  qu’on peut lui trouver, c’est qu’il provoque incontestablement; en celui qui le lit; et qui n’a vraiment pas une certitude du divin,  un sentiment irrésistible de rejet. L’esprit du lecteur est accroché, à des détailles ou à des formules littéraires et à bien d’autres choses; qui poussent irrémédiablement au dénie du saint coran. Cet accrochement peut être tellement   intense  au point de provoquer des étourdissements, c'est pourquoi il y a lieu de trouver des circonstances atténuantes de tailles pour nos théologiens, qui pour la plus part ne sont absolument pas des saints, mais des êtres humains comme tout un chacun. A l’évidence; ils se sont tout simplement fait avoir comme des petits enfants.
 " Et Dieu vous met en garde contre sa personne. -coran-".
 Il en découle que la lecture du coran, nécessite; surtout au tout début; particulièrement pour ceux qui étaient dans l’égarement, patience, abnégation
 et acharnement pour ne pas crier sa colère et réfuter le livre en bloc et en détaille. Ceci atteste encore une foi; premièrement; que l’acte de foi
n’est ni dérisoire ni simple, mais c’est le sacrement d’efforts et de privations concédés, en raison de sa très grande valeur auprès du seigneur, et deuxièmement; que ce livre n’est pas le fait d’un être humain,
parce que si un homme l’avait écrit; il aurait tout fait pour que tout
le monde le croit, les choses sont à l’évidence tout à fait à l’opposé dans
le Saint Coran, réussir un tel exploit dans un ouvrage littéraire n’est pas
du ressort des humains . Et si ce n’est par la grâce d’une miséricorde divine; l’existence de versets hautement véridiques « bien scellés », et qui ne peuvent émaner que d’un émérite savant, nul n’aurait cru en Dieu. Malgré cela,
ne croira que celui que Dieu a décidé qu’il croit et pas autrement.

4- Quand   au    qualificatif    "Révélations   Divines",   bien   évidement   il concernerait  le capiteux  et les ressources qui sont issues des fruits des palmiers et des vignes, il y a juste une ambiguïté de compréhension de taille. En effet; le terme "Révélations Divines" qui est le sens le plus proche et le plus significatif du terme arabe "aya", plutôt que signes, fut inconsciemment et machinalement associé à ce qui  devrait être strictement bon, comme le sont les ressources non prohibés; alors que tout le monde sait pertinemment que les Révélations Divines s'appliquent indifféremment aux très bonnes choses qu’aux très mauvaises, le tout et de la création du seigneur; ce qui laisserait supposer que c'est la juxtaposition de ces deux antagonistes au sein d’un même verset qui a en quelque sorte induit en erreur. Il se pourrait aussi; que cette   incompréhension  soit le fruit du  sens que les uns et les autres veulent bien admettre du  terme "Révélations Divines" ou signes, qui pour bon nombre reste ambigu et ils ne savent vraiment pas ce que ce terme englobe.

b)  La Réalité Divine.

Premièrement, ce terme est associé indifféremment au bien et au mal,

  deuxièmement; ce terme informe sans équivoque aucun, que les phénomènes naturels ou toute chose dont il fait allusion par l’intermédiaire du qualificatif « Révélations Divines » ; relève du seul ressort de Dieu, et que; si minutieusement et intelligiblement contemplée, cette chose ou ce phénomène; ferait irrémédiablement apparaître Dieu, donc les Révélations Divines dont l'objectif serait de faire part de ce qui devrait convaincre du divin, viseraient de toute évidence les mécréants plus que les croyants.

Demandez à un anesthésiste si l'enivrement d'un bon capiteux est égalable en quoique ce soit à l’enivrement d’autre produit du genre. Tu peux boire comme un trou, comme certains se plaisent à le dire, et si ton capiteux se réfère à une bonne année, tu auras toujours quelques esprits, sans perdre de vue qu’un produit enivrant et en faite un anesthésiant; ce qui n’est pas une mince affaire, et que le fait de dire que ceci est un capiteux qui dérive d’une bonne année; n’enlève jamais la part du mal que ce capiteux renferme, aussi; ce verset polémique n'a jamais ôté la part du mal que le capiteux renferme, c'était juste des projections de certains esprits; et non des affirmations écrites noir sur blanc, et comment pourrait-il être ainsi; puisque Dieu atteste de ceci:

Traduction (Mienne).

"Ils vous interrogent à propos du vin et les jeux de hasard, dis; au sein d’eux il y a une très grande coulpe  et des profits pour les gens, et leur coulpe est plus grande que leur profit. Et ils vous interrogent, que peuvent-ils dépenser? Dis; le pardon. C'est ainsi qu’ALLAH clarifie pour vous les R.D (Révélations Divines) se pourrait-il que vous y réfléchissez?-219- la vache.

Ainsi donc, le vin contient et contiendrait toujours une part de mal et de bien. A propos; qu'en est-il de ce verset? Faut-il aussi l'abroger?

Voici le meilleur.

Traduction (Mienne):

L'exemple du paradis promis aux pieux, en son sein des rivières d'une eau inchangée, des rivières de lait dont le gout n'a absolument pas  changé
et des rivières d'un vin délicieux pour les buveurs….-15-Mohamed.

Honnêtement, si on avait dit que ce verset devrait être abrogé en raison
du verset qui interdirait le vin; j'aurais volontiers acquiescé,
cependant comme la rivière se trouve au paradis;
il leur a été difficile de l’obstruer.

Voici le verset interdisant le vin et bien d’autre chose; et qui n’abroge absolument rien du tout; surtout pas le verset ou il est question du capiteux; verset qui vu de près; ne suscite aucune contradiction, et reste toujours de rigueur ; et au vu de l’ensemble du texte coranique ou il est question de vin;
 sa présence réconfortante plutôt.

Traduction du verset qui apparait dans l’article.

« O les croyants ! Le vin, les jeux de hasard, les statues, les flèches de divination sont une abomination inventée par Satan. Ecartez-vous-en afin que vous réussissiez.-90- » La Table.

Voici la traduction que j’ai fait.

" Ô; vous; ceux qui ont cru; c'est que le vin, les jeux de hasard;
 les statues et le tirage au sort;  sont une salissure ignominieuse;
fait du diable, évitez les donc; se pourrait-il que vous réussissez -90-
 C'est qu'à travers le vin et les jeux de hasard; le diable veut instaurer entre vous; l'inimité et  l'animosité et vous faire obstacle contre l'invocation d'ALLAH et contre la prière, est-ce que vous allez donc vous abstenir? -91- La table 

Le verset qui réconforte  l’existence de ce verset et celui  où il est question de capiteux et permet de se rendre compte de la continuité dans  les idées sans contradiction aucune, le voici.

Le verset

"Oh vous ceux qui ont cru, n’approchez pas la prière tout en étant ivre,
 jusqu'à ce que vous savez ce que vous dites…-43-" Les femmes.

Ceci  atteste que le problème réside plus dans l’enivrement du capiteux que dans le capiteux lui-même, et c’est en faite de cet enivrement qu’il a été question dans le verset où il est question du capiteux; enivrement guère qualifié de bon comme on peut le croire ou nous le faire croire, mais c’était juste  une précipitation d’idées qui a conduit à cette malencontreuse compréhension, qui, à son tour a conduit les prétendus savants à inventer une règle à dormir debout, règle nommée "abrogation".






Début | Page précédente | 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact abdoullah16 ]

© VIP Blog - Signaler un abus