Toute la science.

VIP-Blog de abdoullah16

Toute la science.
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

abdoullah161@outlook.com

132 articles publiés
0 commentaire posté
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 26/11/2012 21:23
Modifié : 06/11/2018 07:32

Garçon (54 ans)
Origine : fes
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Bloc_Note.(B.N). ] [ Traduction Du Saint Coran.(T.S.C). ] [ La Réalité Divine.(RD). ] [ Pages Ephémères.(P.Eph) ] [ Nouvelles Théories?(NT). ] [ Au Jour Le Jour.(AJLJ). ] [ Apperçu Sur Le Saint Coran.(ASC). ] [ Autres Religions.(AR). ]

Le paradoxe terre, cieux et la dérive des continents ?(N.T)

27/12/2014 16:21

Le paradoxe terre, cieux et la dérive des continents ?(N.T)


J/I) Le paradoxe terre, cieux et la dérive des continents ?

a) Singularité des  grandes structures de l’univers et leur immobilité primitive.

Tout plaide  pour attester que le bon Dieu a initié la terre et les cieux de façon différente et séparément,  c'est-à-dire que les éléments  composants  la terre n’ont rien emprunté aux éléments composant les autres astres de l’univers, en d’autre terme, la sauce à partir de laquelle a été faite la terre est une préparation singulière propre à la terre au même titre qu’elle était la sauce  ayant engendré les différents astres des cieux, c'est-à-dire bien singulière aussi, c’est pourquoi il serait bien sage de s’abstenir de vouloir s’implanter sur quiconque planète pour le moment, parce que honnêtement elles ( les planètes) ne devraient pas s’apprêter.
    Il y a aussi lieu de croire que l’univers dans son ensemble était dans un état primitif stationnaire, c'est-à-dire immobile, créativité oblige. Cette même créativité oblige aussi à prétendre ; que la terre et les cieux étaient créés en premier temps en  des blocs bien distincts, puis disloqués et dissociés, parce que utiliser une force super-colossale par intermittence n’est pas vraiment préconisé pour arriver à bout d’une œuvre primordiale et nécessaire de la meilleure façon qu’il soit, mais  surtout dans les meilleurs délais minimisant ainsi temps et énergie. Pour rapprocher un peu les idées on peut dire que le bon Dieu a façonné en premier lieu deux grandes pâtes, voir même trois ou quatre  (un peu plus ou un peu moins, qui sait ?) et c’est à partir de ces pâtes qu’il a donné naissance à l’ensemble des éléments de l’univers et de leurs constituants finaux. La raison ultime qui pousse à préconiser et à faire prévaloir cette démarche résiderait à priori dans le faite que la fonctionnalité qui allait être dévolue à chacun des éléments est bien disparate, ce qui obligerait à la création d’éléments  à constituants bien spécifiques ayant le pouvoir de répondre au mieux aux taches qui seraient les leurs.

b) Comment la terre et les cieux pourraient attester  de ce fait ?

Tout le monde a entendu parler de la dérive des continents, sauf que jamais dérive n’a eu lieu et jamais dérive n’aura lieu, ce fait devrait être vérifiable par les constations géologiques des fonds marins mais surtout par la géologie des littoraux ’’ On pense revenir un peu  plus tard sur le sujet avec plus de détaille in chaâ ALLAH’’, cependant Dieu atteste de ce fait dans ces deux versets :
    ’’  Est-ce que ceux qui ont mécru n’ont pas vu que les cieux et la terre étaient solidaires et on les a dissocié et nous avons fait de l’eau toute chose vivante, est-ce qu’ils ne croiront pas?-30- Et nous avons fait au sein de la terre  des bollards d’accostage (des ancres d’amarrage- se sont les montagnes) pour qu’elle ne dérive pas par vous, et nous avons fait en son sein des baies voies, se pourrait-il qu’ils s’éclaire-voient? -31- Les prophètes.
     Toutefois la notion de dérive des continents  n’est pas tout à fait fausse et renferme l’idée maitresse selon laquelle la terre était solidaire c'est-à-dire un seul bloc et qu’elle a était disloquer, ce qui est à l’avantage de  Wegener et mérite pour cela, grande reconnaissance.

Il y a lieu de reconnaitre que plusieurs questions restent en suspens, tel que,  comment  le bon Dieu a procédé, non pour disloquer la terre, mais pour le déplacement des morceaux de terre disloquées ? Le probable serait que les parties ont était soulevées et posées là où ils sont et ce en raison du manque d’indice de leur dérive sur les fonds marins et que les détenteurs de la théorie de la dérives des continents omettent  de mentionner ou d’y répondre. Ce qui plaide pour  le fait que les socles disloqués ont été aéroportés ce sont les grandes différences biologiques (des êtres vivants) constituants les différentes plaques terrestre. En effet si dérive il y a eu sur une aussi longue période tel qu’on le prétend les espèces seraient réparties de façons plus ou moins homogènes en fonction de leur habitacle particulièrement au niveau des espaces relevant des plaques qui étaient juxtaposées avant la dérive, puisque le déplacement des êtres vivants se fait de façon bien plus rapide et il n’est freiné que par la contrainte du climat et de la couverture végétale (nourriture). Cependant on remarque qu’il y a une très grande différence entre les espèces au niveau des plaques terrestres ce qui devrait être un fait, puisque Dieu a créé la terre avec toutes les plaques que nous connaissons et c’est bien après qu’il l’a peuplé en créant les différentes espèces, Dieu miséricordieux n’était pas pour frustrer sa création par un aussi infernal remue-ménage. Toutefois il faut bien reconnaitre que même l'idée de "l'aéroportage" des socles terrestres ne répond pas à toutes les questions liées au morcellement observé de la croûte terrestre proprement dit.

      L’autre élément primordial qui plaiderait pour l’immobilisme primitif surtout des éléments de l’univers extra-terrestre c’est leur synchronisation et leur agencement inouïs malgré leur nombre indénombrable, et que même si on peut imaginer et admettre que le bon Dieu aurait pu façonner l’univers directement en octroyant aux éléments leur configuration et leur mouvement au tout début, il y a lieu de se rendre à l’évidence que comme Dieu l’a attesté le tout était solidaire et inerte puisque le temps de deux jours ’’de 24 heures’’ qu’a nécessité pour le bon Dieu le façonnement des cieux et la simplicité de la créations avec des éléments inertes  privilégie la thèse de l’immobilisme primitif des éléments de l’espace, et ce n’est qu’une fois façonnés que les éléments de l’espace  se sont vues donner et imposer par le bon Dieu le  mouvement que nous leur connaissant.
     Ce qui réconforte l’idée de l’immobilité des éléments de l’espace et celle de l’existence d’au moins trois grandes pâtes divines originels,  c’est que le jour du jugement dernier tout sera inerte et il y aura un premier  amas d’étoiles, un second amas formé par la réunion du soleil et la lune et un troisième amas formé de mère terre bien dénudée de sa beauté et fort bien allégée de son fardeau, quoique que cela relève certainement de l’occulte, il est un réconfort pour le croyant.

   Soyons au moins d’accord sur un point, c’est que Dieu dépasse tout entendement, c‘est presque irraisonnable, si ce n’est irraisonnable pour notre infime raison.
      Ce texte c’est juste une réflexion, une idée sans prétention aucune certes, mais il se peut qu’il soit fort probant, c’est pourquoi j’ai  voulu le partager avec ceux et celles qui prennent la peine de rendre visite à ce blog comme signe de remerciement et de reconnaissance, même si je pense qu’il nécessite si ça se trouve  bien des améliorations. Je terminerais sur cette note, je ne sais de qui, et que j’ai trouvé fort agréable:
    ’’ Il faut signaler que l'hypothèse de Wegener était une hypothèse génératrice de science, parce que les questions soulevées sont suffisamment sérieuses et fondées sur des faits réels pour qu'on s'attaque à y répondre.’’

     





La fourmi et l'arnaqueur.(AJLJ)

10/01/2015 14:57

La fourmi et l'arnaqueur.(AJLJ)


H/III) La fourmi et l’arnaqueur.

Acte n° 01 : Un jour de début d’automne, un petit malin d’arnaqueur s’est trouvé assis sous un arbre au beau milieu d’un champ fort bien dénudé.

Acte n° 2 :    Soudain son regard tomba sur une petite fourmi qui peinait pour apporter son butin à la fourmilière.

Le narrateur : Le butin qui n’était autre qu’une cigale bien gisante était bien plus lourd pour qu’elle puisse le porté toute seule.

Acte n° 03 : La fourmi se résout donc à aller chercher de l’aide auprès de ses congénères.

Le narrateur : Contemplant la scène de très près, notre arnaqueur se rend compte que la fourmi a trouvé vraiment de l’aide auprès de ses congénères.

Scène n° 04 : Parce que voici notre petite fourmi qui est de retour inconnaissable au beau milieu de plus d’une dizaine de petites fourmis qui lui ressemblaient comme une goutte d’eau.

Le narrateur : C’est en ce moment-là que l’idée diabolique de cacher le cadavre de la cigale traverse l’esprit de l’arnaqueur.

Scène n° 05 : C’est ce qu’il exécute sans réflexion ou remord.
Scène n° 06 : Une fois sur place, la petite bête se fait bien
distinguer et remarquer de toutes les autres  par son va et vient incessant au milieu du champ entre ses congénères qui la contemplèrent  à demi debout sur leurs pattes et vacillant par leurs têtes et leurs longues antennes se demandant que fait leur camarade et où  se trouve le butin prétendu.

Scène n° 7 : Après un long moment de patience et d’attente voici la file de fourmi de retour au bercail, délaissant derrière eux leur congénère.

Le narrateur : Il faut bien imaginer la rage de ces fourmis qui pensent être pris pour des nigaudes, même si elles n’arrivent pas à admettre vraiment qu’il s’agit là d’une supercherie montée de toute pièce par l’une des leurs, parce qu’elles n’ont pas l’habitude de ce genre de raillerie dans leur société.

Scène n° 08 : Notre petite et malchanceuse fourmi est restée seule, cette fois-ci à mis-debout ; scrutant les alentours dans l’espoir de découvrir son précieux butin.

Scène n°09 : Toujours aux aguets l’arnaqueur qui a assisté ébahi à toute la scène décide de déposer la cigale à l’endroit où il l’a trouvé.

Scène n°10 : C’est sans tarder que notre malheureuse petite bestiole courra vers son sacré butin, non sans étonnement, le scrutant de fond en comble, l’ayant reconnu elle court parait-il toute contente vers la fourmilière; puisque pensant pouvant prouver sa sincérité et sa bonne foi.

Scène n°11 : Cependant les évènements paraissaient n’être pas en faveur de la petite, puisque le nombre de fourmis qui l’accompagnent est bien inférieur ; en faite il  ne dépassait pas une dizaine.

Le narrateur : Notre fourmi se disait tant mieux, vu que je trouve au lieu et place cette carcasse maudite de cigale. Parce qu’elle avait raison, l’arnaqueur a eu aussi la fâcheuse idée de reprendre cette carcasse au vue de la fille de fourmi s’en approcher.

Scène  n° 12 : La mène scène se répéta cette fois ci aussi pour notre petite fourmi, parce que c’est simplement après que toutes les autres ont évacué les lieux que par enchantement la maudite carcasse fait  son apparition.

Scène n° 13 : Cette fois-ci la petite fourmi après avoir reconnu son butin déploya tout son énergie comme jamais auparavant espérant se pourrait-il pouvoir se passer de l’aide de ses congénères si elle arrivait à emporter toute seule surtout la preuve de son innocence, sauf que rien à faire ; le cadavre ne voulait pas avancer d’un  iota, la tâche parait trop rude et le butin fort bien succulent pour baisser les bras et lever le drapeau blanc.
Scène n° 14 : Et c’est dans une folle course que la petite rejoindra la fourmilière, qui comme dirait qu’elle voulait   prendre de court la fatalité, qui pertinemment   savait déjà qu’elle s’acharnait contre elle.

Le narrateur : Mais rien à faire, la fatalité parait vraiment s’acharner sur la petite fourmi, parce que l’arnaqueur toujours en place et lieu épiant les moindres petits agissements de la malheureuse reprendra sans aucun scrupule le butin au vue du retour de la petite fourmi avec ses congénères et qui bizarrement étaient au nombre de quatre ou cinq. Il parait que ce ne sont là que  les amies fidèles, ceux qu'on pense  qu'ils nous soutiennent dans les moments difficiles.

Scène n° 15 : Les petites bêtes arrivaient sur les lieux vont vite douter de la raison de leur amie puisque ils font vite déguerpir que les autres fois rejoignant leur fourmilière, laissant derrière eux une petite fourmi dans tous les embarras du monde.

Scène n° 16 : L’arnaqueur remis la cigale sur terre une fois encore, mais non son hésitation que la petite fourmi s’en approcha pour la reconnaitre, et prendra plus qu’il en faut de temps pour essayer de la colporter.

Le narrateur : Cependant un évènement bien bizarre se produit cette fois-ci, parce qu’au lieu que la petite fourmi se dirige vers la fourmilière pour demander de l’aide, c’est une armée de fourmi dans une marche bien solennelle et se pourrait-il tambour battant qui sorte et se dirige vers la petite fourmi, ce qui   a éveillé encore plus la curiosité de notre arnaqueur pour les surveiller sereinement et  attentivement.

Scène n° 17 : L’arnaqueur extirpa la cigale d’entre les mains de la petite fourmi la laissant stupéfaite, criant se pourrait-il de toutes ces forces sa rage; sans pour autant pouvoir injurier la fatalité, puisque il est de notoriété publique que les fourmis croient dure comme fer au Divin et à la miséricorde Divine, même si elle ne comprenait certainement pas les raisons pour lesquelles une miséricorde Divine  lui a imposé à elle petite fourmi bien charitable et pieuse une telle épreuve.

Scène n°18 : Au vue de la troupe, la charitable et honorable petite fourmi prend ses cliques et ses claques et fonce sans se retourner droit vers le large, après un long parcourt, essoufflée, elle se risque de jeter un clin d’œil par derrière, bizarrement elle ne s’aperçoit plus ses congénères la poursuivre. Bien curieuse elle se risque de ralentir petit à petit jusqu'à s’arrêter pour oser, toute sur ses gardes, rebrousser chemin, mais toujours rien à l’horizon, quand soudain elle aperçoit la meute de fourmi occupée à on ne sait quoi. Pour avoir le cœur net, elle osa s’approcher de plus en plus jusqu'à ce qu’elle se fait apercevoir, c’est alors qu’elle se fait chaleureusement rejoindre et renifler par la première fourmi puis par la seconde jusqu'à ce que toute la meute y passe, on dirait qu’elles lui présentent des excuses. Elle découvre stupéfaite que la dépouille de la pauvre cigale qui lui a joué tant de tours est bien là, et qu’elle est en route vers la fourmilière. Elle remercia le Divin pour sa miséricorde de lui avoir permis surtout de sauver la face devant ses congénères, tout en ayant appris qu’on ne peut même pas compter sur ce qu’on pensait être des amis fidèles, puisque c’est à eux qu’est revenu l’honneur d’avertir la meute meurtrière, mais elle se réjouit encore plus de n’avoir jamais  perdu confiance et espoir en la miséricorde  Divin.  

Le narrateur : Cette dernière scène n’était pas pour être si ce n’est cette miséricorde Divine à laquelle a tant cru la petite fourmi, puisque l’arnaqueur ayant compris ce qu’encoure la petite fourmi ; c’est pourquoi il a eu de la compassion à son égard, au point de fondre en larme, son cœur s’éclaira et déposa la cigale gisante à la meute. La petite fourmi ne saura certainement pas tôt à quoi aura servi son épreuve, puisque le jour où elle le saura, elle serait certainement bien heureuse d’être juste une petite fourmi qui à tant permis et remercia bien plus le Divin pour sa miséricorde , et pour cause l'arnaqueur a acquis bien des sagesses.

Nb : Cette histoire est une adaptation d’un écrit dont l’auteur me reste inconnu, quoi que j'ai fait subir au texte de nombreux arrangements, l’idée originelle reste toujours celle de son premier auteur. Que celui qui l’aura connu le fait savoir tout remercié.






Début | Page précédente | 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact abdoullah16 ]

© VIP Blog - Signaler un abus